fermeture en Cage de pilotage

meme pas de clef possible ? wow, cool !! :wink: :sors:

c’est à dire concretement ? une demo? une date?
ou c’est de la r&d pour 2018-2020 ?

ca rappelle un peu : http://www.parapentiste.info/forum/autres-questions-techniques/pourquoi-la-bionic-est-un-flop-t8859.0.html;msg423482#msg423482

c’est un peu comme pour les deltistes; on compatit :oops: … et ca empeche pas de donner un coup de main pour monter le barnum sur la galerie ou l’emmener au déco :wink:

[quote]Tellement d’autres qualités dis tu, mais lesquelles au juste ? Si ce n’est qu’il y a un grand choix d’ailes différente… et qu’on ne fait pas d’accro en Cage… je vois pas trop. Ah, si peut être quelques guns réservé aux pilotes top level …
[/quote]
Ben déjà tu le dis dans ton post: pas d’accro. Mais ça veut aussi dire selon moi beaucoup moins de possibilités de pilotage et beaucoup moins de maniabilité en toute condition. Mais ça peut tout à fait correspondre à pas mal de pilote.
Sinon j’y vois au simplement l’encombrement. perso j’ai une mini et un para, je me vois pas trimballer deux étendages en plus (même en carbone) :stuck_out_tongue: .
Et du coup exit le vol rando…
Ca fait quand même déjà bcp de possibilités en moins.

Et puis on peut aussi rajouter les inconvénients que tu cites:

[quote]Pas question de tout lâcher pour regarder les oiseaux ou faire des photos…
[/quote]
ou

[quote]le look
[/quote]
ou [quote]un grand choix d’ailes différente
[/quote]
Enfin pour moi il y’a le jeu au sol qui est très ludique en parapente (typiquement à la dune) mais je me vois pas rajouter une cage.

Bref juste ces inconvénients c’est énorme.
Alors pour l’instant perso je préfère développer mes intuitions de vol sur un engin peut être un peu moins intuitif au départ.
Mais je trouve ça très bien qu’il y est des gens motivés comme toi pour s’intéresser à des développements et alternatives à ce qu’on connaît déjà.
Et qui sait? peut être que dans 10 ans je volerai avec une cage ou son évolution au dessus de la tête.
Bref j’espère quand même que le parapente aura lui aussi évolué et que j’aurai toujours mon sac à dos et que je pourrai faire du stop quand je me rate sinon je ferai déjà du Delta…

Re bonjour,

Le sujet de ce fil était la fermeture, et évidemment, ça dévie sur les avantages comparés de la Cage et du Parapente.

Il n’y a pas à comparer, ce sont deux engins différents. Le drame, c’est que ça ne saute pas aux yeux, et que le parapentiste voit en la cage un concurrent, si ce n’est un adversaire de son aéronef. Il est évident qu’on ne va pas monter à l’Everest avec une Cage de même qu’on ne le ferait pas avec un delta. Le Parapente est fabuleux pour certains usages que la Cage ne prétend pas remplir.
Ce sont deux approches différentes, deux engins différents qui se pilotent différemment.
Il faut donc arrêter de comparer les deux, et de vouloir “essayer” comme on essaierait une nouvelle aile de Parapente.

Par contre, pour les curieux de ce qui vole, on peut expliquer et essayer de faire ressentir ce qu’il y a de spécifique, ce qui fait que nous ne voulons plus revenir au Parapente et qu’on est toujours là pour défendre notre engin favori.

Ce qui est déprimant, Zèbre, c’est que depuis 15 ans (pour moi), on répète toujours les mêmes choses et on n’est jamais entendu. Sinon, tout va bien pour moi et je suis très heureux sous ma Sprint Cagée.

René

:coucou:
n’empêche que je connais nombre de parapentistes curieux qui essayent d’autres formes de vol tel que le planeur …
je crois même qu’un mouvement pour le renouveau du delta a tenté cette approche : proposer aux pilotes (moniteurs ?) de parapente d’essayer cet autre glisse qu’est le delta.
forcément, c’est pas tout à fait le même essai que le rape la pente du copain … mais une approche différente de l’apprentissage ex nihilo comme on le fait quand on passe du scaphandre au parapente

sans vouloir polémiqué, J-M Boivin est monté avec son aile delta au sommet du K2 et de l’everest et y a décoller et en parapente aussi (http://www.ina.fr/video/CAC96017207 https://www.youtube.com/watch?v=eiHEYGj2Ehw)
http://jeanmarcboivin.free.fr/films.htm

Je ne vois pas pourquoi tu dis ca, René - chaque fois qu’on a vu une cage sur un déco, c’est surtout de la curiosité que j’ai ressenti parmi les autres pilotes, pas du tout un concurrent ou adversaire. C’est un autre engin volant, tout comme le delta, le rigide, le paramoteur, le planeur, l’ulm etc… il en faut pour tous les gouts, certains aimeront (et accrocheront peut-etre après un essai ou une journée découverte - au fait des biplaces cagés, ca existe ?), d’autres pas, chacun pour ses raisons.

Et c’est quoi donc, ce message que vous avez tant de mal à faire passer depuis 15 ans ?

:rando:

Ah!!!
Bon, je vais encore passer pour un jneujneu. :prof:
Et oui, le français à ses petites exigences qui font que l’on se méprend.

Essayer
Soumettre une chose à une ou des opérations pour savoir si elle répond aux caractères qu’elle doit avoir.
:evil:
Et donc là, pas bon. On ne peut juger si on est néophyte. Où alors, c’est que l’on est particulièrement outrecuidant.

s’essayer (à)
Faire l’essai de ses capacités pour une activité.
Alors là, je veux bien. :jump:

Donc je veux croire que des parapentistes curieux essayent d’autres parapentes, et s’essayent à d’autres formes de vol.

Bien sûr, pour voler on n’est pas dans de l’apprentissage ex nihilo puisque l’environnement est le même.
Quand tu passes d’un sport co à un autre, les mouvements des adversaires et partenaires, les positions, les déplacements ne sont plus à apprendre.
La technique spécifique de ce nouveau sport, par contre…

:smiley: Ça me rappelle un moniteur polonais (fort sympathique) de parapente qui était venu en découverte à une CC de Cage (rencontre de cagistes) au Salève voici quelques années.

Infoutu de lever sa voile le garçon. ROTFL
Il n’écoutait rien, avait vu faire les autres et essayait de l’appliquer (enfin…) avec son filtre de réflexes de parapentiste très confirmé. :bang: :bang:
Après près de 2 h d’efforts sans aucun succès, il avait fini par mettre la faute sur l’aile. :grrr2:
Et là, quand le premier bizuth qui ne fait que la bonne gestuelle gonfle du premier coup, le polonais ravale sa vodka. :oops:

Ç’eut été un nouveau parapente, il l’essayait et faisait directement un grand vol.
Je n’ose imaginer ce qui lui serait arrivé s’il avait fait la même chose avec la Cage. :vrac:

Bon, ça s’est bien fini, il a fini par écouter, travailler correctement, et le lendemain, où surlendemain, s’est fait un grand vol au Salève, :ppte: tout ravi de dire que c’était extraordinaire (les informations qu’il pouvait ressentir dans ses mains). :bravo: :trinq:

:+1:

la logique aussi !
http://fr.wikipedia.org/wiki/Sophisme :bisous:

Bon, on ne va pas citer Audiard à propos de ceux qui osent tout.

Si mon propos te semble fallacieux, allons au bout de ta logique.

Rendez-vous au déco du téléphérique au Salève.
Je te prêterai une Cage et tu me montreras…
Repose en paix.

Bonjour,

“Je ne vois pas pourquoi tu dis ca, René - chaque fois qu’on a vu une cage sur un déco, c’est surtout de la curiosité que j’ai ressenti parmi les autres pilotes, pas du tout un concurrent ou adversaire. C’est un autre engin volant, tout comme le delta, le rigide, le paramoteur, le planeur, l’ulm etc… il en faut pour tous les gouts, certains aimeront (et accrocheront peut-etre après un essai ou une journée découverte - au fait des biplaces cagés, ca existe ?), d’autres pas, chacun pour ses raisons.”

C’est très bien, et je partage ce que tu dis, mais tout le monde n’a pas ce comportement
[i]

“Et c’est quoi donc, ce message que vous avez tant de mal à faire passer depuis 15 ans ?”[/i]

Hé bien tout ce qu’on dit : que les fermetures ne sont pas pires que celles d’un parapente, que ça ré-ouvre plus facilement très simplement par action naturelle du pilote, qu’elles sont moins rare sans doute qu’en parapente car la géométrie de la cage fait que l’aéronef s’adapte à l’aérologie (il faudrait explique ça, c’est essentiel), qu’on a toutes les informations dans les mains, que ce n’est pas compliqué à mettre en oeuvre malgré les apparences, que c’est très confortable en vol car on n’est pas agité en tous sens dans la baston, ce qui est un élément de sécurité en limitant le stress, que le virage est un rêve, que le contrôle du tangage et du roulis devient instinctif, comme on conduit son vélo, que c’est une pratique différente, qu’on ne fait pas de montagne ni de biplace et qu si on le regrette, on fait avec. Que le poids est un argument, mais bien des pilotes de parapentes portent un sac de 20 kg et on cherche des solutions pour alléger (la vieillerie fait son oeuvre…).
Bref, je pourrais continuer, mais chaque fois qu’on avance un argument, on a le sentiment qu’on ne nous crois pas, ou pire on ressent de la mauvaise foi en face.

Par exemple, j’ai eu un débat par forum interposé, il y a quelques temps avec un bonhomme qui disait qu’on parapente, on sent tout ce qui se passe dans l’aile dans les mains parce que l’élévateur est directement lié à l’aile, alors qu’en Cage tout est filtré par la cage. Mais c’est tout le contraire et il serait très intéressant de l’expliquer, sauf que l’autre ne veut pas l’entendre et persiste dans son erreur, alors on baisse les bras…

Finalement, le cagiste se replie sur lui même, et ne pense plus qu’à son plaisir de voler avec son engin, mais dès qu’on se pointe sur un déco, les sarcasmes fusent encore et soit on se referme, soit on se défend.

Le problème, c’est qu’on a le sentiment qu’on est attendu au virage, et que la moindre faute (un déco raté par exemple) sera la preuve que l’engin est nul. On a d’ailleurs eu ici, dans ce fil, ce type de réaction: “Moi, la seule cage que j’ai vue a fermé, le gars à fini à l’hosto, donc la Cage c’est dangereux…”.
On a donc une pression qui n’est pas bonne et risque de provoquer des incidents.
Par exemple, il y a deux ans, à Foi, j’allais décoller et l’école est arrivée, et les réflexions ont commencé. Résultat, j’ai loupé deux décos et fait un tas, alors que je venais de passer une semaine dans l’aérologie pour le moins compliquée d’Ager, sans souci majeur.

Je ne sais pas si tous ça répond à la question de ce qu’on ne parvient pas à faire passer. Il faudrait seulement un peu de tolérance, de curiosité et chercher à comprendre pourquoi il y a encore des pilotes qui volent avec ce si bizarre engin. Ce n’est sans doute pas pour rien…

René

Oui, en cage, j’imagine qu’on sent DANS LES MAINS toutes les sollicitations de la voilure, puisqu’elles sont transmises géométriquement à la cage. Une tendance à cabrer de l’aile se ressent comme une tendance à cabrer de la cage. Idem si une demi-aile entre dans un thermique, on perçoit l’effet directement sur le même côté de la cage. Ca semble complètement intuitif.

En parapente, on ressent aussi les choses, mais soit indirectement dans les mains (tension dans les commandes), soit visuellement (position des élévateurs), soit dans le corps ou dans les fesses (bascules AV/AR, appuis sellette). Intégrer ces senssations pour en dériver des actions semi-réflexes n’est pas trivial.

Après, une fois l’apprentisage de l’un et de l’autre bien intégrés, quel est le jeu de sensations le plus efficace? Je serais bien en peine de le dire.

Il fallait lire que les fermetures sont “moins fréquentes” (ou plus rares) et non “moins rares”… :dent:

René

Il y a bien longtemps j’avais eu l’occasion de venir voir (lors d’un rassemblement de cagistes au Salève) à quoi ressemblait de visu cet engin que je n’avais alors vu qu’en photo.
J’ai été vraiment impressionné par le maniement au sol par vent assez bien établi.
Christian Quest m’avait même prêté sa voile cagée de 33 m² (mais oui, Christian était un grand costaud à l’époque !) et moi qui suis nul en gonflage au sol n’avais pas eu de difficulté à monter la voile et la stabiliser au-dessus de moi, comme quoi…
Puis les pilotes de Cage s’étaient envolés pour un beau vol du haut du Salève et l’impression de glisse et de fluidité en l’air était assez étonnante ; j’avais été quelque peu bluffé.

Autre exemple : vent vraiment soutenu au décollage des Dinosaures à la montagne Sainte-Victoire.
Ce décollage est tout petit et assez technique ; les pilotes présents (habitués du site) attendent que le vent baisse un peu.
J’arrive au déco avec Dany’Aile et sa Cage (il n’avait alors jamais volé à Sainte-Victoire).
Il sort son matériel et les pilotes présents se proposent de l’assister pour l’aider au décollage.
Il décline leur offre, gonfle sa voile cagée et décolle sur place dans le vent établi : une vraie démonstration de maîtrise.
Quelques minutes plus tard il survole la Croix de Provence 300 m au-dessus du décollage et il est seul en l’air alors que pas mal de pilotes attendent des conditions plus calmes pour décoller.
Comme quoi…

A+ Marc Lassalle

Tout à fait, c’est exactement ça.
Je rajouterais juste qu’en cage, on sent beaucoup de choses dans les mains, et on peut savoir quelle est la partie de la voile qui porte ou qui s’affaisse. Pour les deux engins, la connaissance de ce qui se passe est donc synthétisée de manière différente, mais l’essentiel est que le pilote soit informé en permanence du comportement de son aile dans l’aérologie, pour pouvoir agir.
Personnellement, c’est en partie l’agitation dans la sellette du parapente qui m’a fait quitter cet engin pour le calme (relatif) du cocon de cage. Le point d’attache unique arrange pas mal de choses. Par contre, c’est la cage qui boulègue au-dessus de la tête.

René

Merci pour tes explications René.

Je pense que la réaction “Moi, la seule cage que j’ai vue a fermé, le gars à fini à l’hosto, donc la Cage c’est dangereux…” se réfère à ma réponse à la vidéo de Francois tout au début, mais tu déformes un peu mes propos et en tires des conclusions (“donc c’est dangereux”) qui n’étaient pas mon intention - je voulais simplement indiquer, en réponse à cette vidéo qui semblait sous entendre que toutes les fermetures en cage sont anodines, que ce n’est pas toujours le cas. Coté risques, je ne pense pas qu’il y ait une grande différence entre le parapente et la cage.

Il y a beaucoup d’ignorance concernant le fonctionnement de la cage, beaucoup de pilotes n’en ont jamais vu ou même n’en ont jamais entendu parler, et c’est vrai qu’on n’en voit pas tous les jours non plus - la dernière dont je me souviens, c’était il y a une dizaine d’années ! Il n’y a pas que la cage qui est dans ce cas, il y a d’autres engins volants tout aussi confidentiels, genre cet espèce de petit planeur décollable à pieds dont le nom m’échappe, qui doit être fabuleux à piloter au prix d’une logistique plus lourde. Et après ? On vole pour son plaisir, pas pour être en première page de magazine ou convaincre les autres que tel engin volant est à préférer à tous les autres…

Le pilotage de la cage doit être intéressant, le coté technique m’intéresse et perso je serais curieux d’essayer de gonfler ou voler avec cet engin si jamais on se croise sur un déco (n’en déplaise à Rémy, le Larousse a d’autres définitions du verbe “essayer” :stuck_out_tongue: ) Mais je ne pense pas que j’en ferais ma pratique principale, je suis très satisfait de mon matériel actuel pour ma pratique du moment.

:rando:
Marc

Bonjour,

Effectivement, il doit y avoir des fermetures, en cage, comme en parapente qui ne se terminent pas aussi bien que celle de la video. Mais ce qu’on entend en général, c’est que la fermeture en cage serait catastrophique. La video montre donc que ce n’est pas nécessairement le cas, fort heureusement. Le parapentiste est persuadé qu’avec son frein, il contrôle la fermeture, et que comme nous n’en avons pas, on ne peut pas le faire. je ne conteste pas qu’on puisse contrôler une fermeture à l’aide d’un frein, mais ce contrôle est évident en cage, comme on l’a expliqué plus haut, et il n’y a pas lieu d’en douter, c’est ce que montre la video. Si je devais craindre quelque chose avec ma Cage, ce serait plutôt le décrochage, car la phase parachutale est, pour l’expérience que j’en ai, n’est pas évidente comme sur un parapente où on peut même jouer avec pour se poser au sommet. Pour ça, nous avons les oreilles, qui permettent de doser la surface portante donc, le taux de chute, tout en continuant à piloter.

C’est vrai que nous sommes peu nombreux, et que “voir” une Cage est un évènement. Je suis toujours content de faire voir, d’expliquer, et même de faire gonfler. Pour le reste, pour voler avec, il faut impérativement apprendre, ce qui est plus ou moins rapide, car le pilotage de la Cage, comme de tout autre aéronef, ne s’improvise pas. ce n’est pas parce qu’on est bon pilote de parapente qu’on ne fera pas de bêtise en cage. D’ailleurs, il y a des automatisme du parapente qu’il faut oublier en cage pour en acquérir d’autres.

On est donc ouvert à ceux qui veulent savoir…

René

Justement Rene, lesquels par exemples ?

Merci

Norbert

je reviens un peu en arrière au sujet de l’accro.
En Cage le pilote n’est jamais centrifugé dans les virages serrés et même dans les descente rapide. :bravo:
Ce qui implique donc qu’il emmagasine bien moins d’énergie et ne peux donc pas la restituer en figure d’accro (ou en autre chose de moins rigolo :vrac: ).
Je trouve que c’est plus une sécurité qu’un inconvénient…
En cas de fermeture ou de vrac, on agit sur toute les suspentes, à la fois (enfin celle qui sont encore en tension) aussi bien en tangage qu’en roulis et pas seulement sur des freins.
Il me semble que ça aide… mais bon.

:coucou:

Sinon des nouvelles de la Cage ou “cadre” imaginée par Paul Amiell ?

http://www.pfgtechnologie.be/Cage/sitewebcadre/index/IM000584.JPG

Ach, Zebre, gross boulette! :grrr:

Pour les descentes rapides, si on applique la bonne gestuelle, on visse sur la trajectoire avec un grand pas (grandes oreilles, cage très piquée et très inclinée) jusqu’à -15, -20, on n’est pas centrifugé.

Mais d’expérience, si la gestuelle n’est pas bonne, on peut se retrouver centrifugé… :oops:

Le père Raul Rodriguez, lors de sa première venue aux journées de parapente à La Roche en Ardennes, en 2004, s’était amusé à gonfler une Cage.
Mais quand on le voit jouer :ppte: avec ses suspentes lors de ses vols d’accro, si l’on devait en faire avec une Cage, ce serait tout un domaine de pilotage complètement différent à redécouvrir. Et il faudrait une voile adaptée.

[quote]Ce qui implique donc qu’il emmagasine bien moins d’énergie et ne peux donc pas la restituer en figure d’accro
[/quote]
:affraid: lors d’une descente rapide, la technique employée sert effectivement à ne pas emmagasiner d’énergie.

Mais le vol d’une Cage, voile ouverte est au contraire vecteur d’énergie par sa capacité à garder le meilleur profil porteur, ce qui permet aux bons pilotes de faire du vol de gradient.