Lu l’ensemble du fil, et pour une fois, pas trop d’accord avec Choucas. Je compte bien passé la QBi un jour.
D’abord, la “limitation” du BPC à des pilotes qui auraient volé sous des voiles pas sages, sous prétexte que ça donne accès à la formation QBi : comme écrit, le BPC donne accès à la formation, pas à la QBi. Ca mérite d’être précisé car on a l’impression fausse à lire ce fil que dès qu’on a le BPC en poche, on passe la QBi (un niveau au-dessus à mon avis, car la responsabilité du passager est engagé) et on l’a.
Ensuite, je suis étonné de ne pas voir apparaître dans ce fil ce qu’on voit apparaître dans tous les fils traitant de formation en parapente : l’adéquation pilote/aile/condition. Débutant dans l’activité, on vole en air calme pendant un certain temps. D’ailleurs, il me semble avoir compris qu’un débutant pourrait sans problème piloter une aile vive (C par exemple) pour un plouf à 8H du mat’. J’imagine que c’est la même chose lorsqu’on débute en pilote de biplace : on ne va pas aller se foutre dans la castagne avec des aterros turbulents. Il y a tout à fait moyen de faire des ploufs très agréable de plus de 1000m de déniv pour faire voler quelqu’un qui n’a jamais volé, non ? Ca dure 15 à 20 minutes, c’est déjà magique. Puis, avec un poil plus de bouteille faire du vol dynamique tranquillou.
Je mets une réserve néanmoins car je n’y connais rien en bi : peut-être est-il nécessaire pour pouvoir décoller que ce soit bien alimenté (dû à la difficulté de courir avec un passager) ce qui implique des conditions plus fortes ?