Et pourquoi Gin aurait dû agir ainsi ?
Gin n’est pas responsable du protocole d’homologation que je sache.
Gin est responsable que ce qu’ils affirment et là je ne vois pas d’ambiguïté de leurs parts.
Gin n’est pas responsable des mauvais choix et des frustrations inhérentes des leurs clients qui ne veulent pas plus lire le message réel de Gin sur le niveau d’exigences de la voile qu’ils ambitionnent, que de faire un point honnête sur leurs capacités réelles de pilote.
La Gin GTO2 L est homologuée EN-C. Que faudrait il penser du pilote qui l’achète en tant que tel en venant de sa Gradient EN-B et qui se sent prêt à voler en C maintenant.
(Idem pour la Trango XC3 d’UP et certainement beaucoup d’autres voiles dans toutes les catégories d’homologation dans les temps à venir)
Ce n’est pas Gin qui est coupable ni même responsable que l’homologation n’a pas suivi l’évolution technique.
Ce n’est pas Gin qui est coupable ni même responsable si nous pilotes/consommateurs voulons fantasmé avec des performances d’ailes dont nous n’avons pas (forcement) besoin mais pour lesquelles il faut (obligatoirement) accepter un certain niveau d’exigences de pilotage dont nous ne sommes pas pour tous capable.
Pour sommes faite rendre compte de cet état d’esprit, il suffit de lire les digressions sur les ailes réputées “sages” dans leurs catégories d’homologations. Être sage est définitivement pas vendeur ni flatteur dans notre microcosme parapente fait d’ego et d’images.