@ JMC,
Jérôme, tout éminent pilote qu’il est répond ici au regard d’une vidéo d’un pilote qu’il ne connaît qu’au travers des propres affirmations du dit pilote et bien sur de ce qu’il voit sur la vidéo en question. De plus, il s’efforce de rester politiquement correct, le but étant de répondre pédagogiquement sans “degouter” les pilotes qui fournissent la matière première à l’éditorial de cette rubrique sur Rock the Outdoor.
À la vue de non seulement, la non-maîtrise totale de l’incident mais aussi de la méconnaissance de comment dé-cravater (peut-être du qu’au stress, peut-être pas), il est difficile de conseiller autre chose que le secours. Alors oui, il parle de l’option “marche arrière” mais c’est, à mon avis, plus pour mettre le point sur la complexité de la situation pour la plupart des pilotes lambdas et que la solution pour M@tthieu aurait certainement été de tirer la poignée… du pépin. Il a eu une chance totalement inespéré de laisser échapper la poignée de commande, ce qui lui a probablement sauvé la vie. Car dans son stress (qui a dit panique ?) il n’aurait pas plus tiré le secours à temps qu’il naurait réussi à reprendre son cap et défaire la cravate avant d’impacter.
Faut avouer qu’au vu de la cravate, même sans panique, reprendre un cap sûr relevait déjà d’un bel exercice de pilotage pour éviter un décrochage et défaire la cravate n’allait pas de soi non plus.
Quant à décrocher volontairement… je ne suis pas capable de juger précisément de la hauteur dont disposer M@tthieu mais cela me parait assez limite tout de même. Même en maîtrisant le décrochage en réel (le SIV est une chose, le réel en est une autre) et bien sûr condition sine qua none, en maîtrisant ses émotions.