Costa Rica:
[i]En 1948, le pays est secoué par une guerre civile, à cause de la non-reconnaissance de la victoire électorale de Otilo Ulate Blanco, qui fera près de 1 000 morts. En 1949, l’armée est supprimée, ainsi le pays devient l’un des rares États à ne pas avoir d’armée. C’est un cas unique sur le continent, un acte symbolique qui a le mérite d’alléger le budget, mais l’inconvénient d’aggraver la dépendance du pays à l’égard des États-Unis. Bien sûr, pour assurer la sécurité du pays en cas de guerre, les États-Unis ont donné leur parole et sont prêts à défendre le Costa Rica, qui représente un enjeu stratégique important pour le contrôle du Canal de Panama.
Le Costa Rica n’a jamais connu, dans toute son histoire, une seule dictature et n’a jamais été gouverné par un régime totalitaire.[/i]
Ce prétexte d’avoir une armée pour se défendre c’est le même que l’on retrouve chez les ricains pro-armes, comme si chaque pays avait besoin de son armée pour se défendre, comme si chaque citoyen avait besoin d’un flingue pour faire de même.
Peut être que s’il y avait une véritable armée supra nationale pour calmer les emmerdeurs, ça changerait la donne parce qu’il est évident qu’il y aura toujours des humains pour aller faire chier leurs voisins, des imbéciles se regroupant en meutes pour latter les autres.
Avec une armée supra nationale, le premier qui tape sur l’autre se prend une trempe, une bonne taloche dans la gueule comme à l’école pour calmer les excités, un blocus pour calmer les plus récalcitrants ou autre mesure de rétorsions, une amende de quelque millions d’euros ou milliards suivant le PIB du pays agresseurs et puis fin de l’histoire.
Celui qui a des réclamations n’aura qu’à négocier ou suivre des procédures légales et pacifiques par ce que les barbares, ras le bol.
(Sinon
avec le dernier message de Zig, j’ai supprimé les 2 ou 3 lignes où je disais la même chose que lui notamment concernant le fait que pour la formation, etc il y avait des civils dont ces le métiers)