C’est bien de mettre le feu Gilles,mais après je fais comment pour l’éteindre?
http://www.linternaute.com/savoir/diaporama/feu-de-foret/7.shtml
Finalement,j’ai pas décollé ,le vent s’est levé
C’est bien de mettre le feu Gilles,mais après je fais comment pour l’éteindre?
http://www.linternaute.com/savoir/diaporama/feu-de-foret/7.shtml
Finalement,j’ai pas décollé ,le vent s’est levé
T’es con de pas avoir décollé, c’était le meilleur moment pour visualiser les vortex :ppte:
Pour ce qui est de l’éteindre, à chacun son métier, comme je ne connais pas, je laisse ça aux pro… et puis généralement aprés un cross de 3 à 4 jours, le feu qui dévasté toute la région s’arrête de lui même à la mer. :canape:
C’est le moment de passer aux sports nautiques :sors:
Une idée tout de même pour éteindre les feux : l’eau la plus efficace, c’est la Volvic.
Si si , parce que la Volvic, c’est l’eau des volcans d’Auvergne. Et les volcans d’Auvergne ils sont comment ? :grat:
Eteints ! 
Quelle boisson prendre avant de partir voler, et comment s’hydrater en vol ?
Et bien oui, il faut bien y penser : nous allons devoir faire des efforts prolongés sous un soleil de plomb pour charger la voiture, récupérer les copains pour le covoiturage, faire bonne figure à quelques charmantes auto-stoppeuses, grimper jusqu’au déco en faisant mine de pas en chier devant les autres, sécher des heures durant en plein vent à attendre un hypothétique créneau de décollage, et si la chance nous sourit enfin, nous resterons alors des heures à batailler en plein ciel… Tout cela impose une excellente hydratation avant le début et pendant l’effort.
Commençons par les boissons les plus connues dans le monde du sport :
Les boissons énergisantes, genre Red Bull. Ne croyez surtout pas la publicité qui prétend qu’en buvant du Red-Bull on peu voler comme la mouette qui vient de vous chier dessus. C’est faux. C’est une publicité mensongère. Il y a un trucage : ce n’était pas une vraie mouette mais un pétrel travesti, en revanche, la fiente, elle, n’était pas simulée. La nécessité de devoir se soulager en vol après l’absorption de ce type de boisson n’est pas mince, et les conséquences pratiques sont lourdes à prendre en compte : débouclage de ventrale en urgence et en plein vol, fuites dans le caleçon bloquées par les cuissardes, remplissage de l’air bag, absence de dévidoir à papier batterie (oui, parce qu’une batterie c’est un accu)… N’est pas un pétrel qui veut, face à un pet foireux.
La bière : On évite, surtout la pression ! Parce qu’entre la baisse de pression liée à l’altitude qui favorise le dégazage et les secousses lors de la prise d’élan et dans les pétards… ça va ballonner, refouler dans la tuyauterie, et vous finirez probablement avec de la mousse en surplus au coin des lèvres. Delà à ce que les copines bienveillantes vous voyant piloter dans cet état vous croient en pleine crise d’épilepsie… et refusent de vous faire la bise à l’attéro, il n’y a qu’un pas que la bienséance et l’opportunisme sexuel réprouvent, et que je franchirais donc allègrement.
La Suze. Ce n’est jamais qu’une infusion à base de gentiane. Ça ne peut pas faire de mal des plantes de montagne en infusion. C’est vrai : une petite infusion de gentiane, ça détend, ça relax. Alors, double dose pour les acrobates !
Le Porto. Pourquoi pas, à condition d’être consommé en doigt - juste un doigt de Porto - et non dans un verre ou avec une paille… Donc si vous savez le consommer de la sorte, aucune restriction. Sachez simplement que c’est long lorsqu’on à grand soif et qu’il faudra préalablement au trempage du doigt et à sa succion, avoir pris soin de bien le laver, ongle compris, pour ne pas dénaturé l’arome boisé du lusitanien breuvage.
Le whisky. Pourquoi pas, mais uniquement de l’américain fabriqué avec au moins 51% de maïs et vieillis 2 ans en fûts de chêne. En clair : du Bourbon. Voilà bien longtemps que le russe Nikolaï Rimski-Korsakov en a vanté les mérites aériens pour les pilotages rapides et la voltige dans son célèbre interlude orchestral : le vol du Bourbon.
Perrier, c’est flou, donc pas net. On évitera par souci de propreté.
Evian, c’est l’équilibre, nous on s’en fou on vole assis.
Volvic, c’est l’eau des volcans d’auvergne, donc à réserver aux vols dans les régions volcaniques ou en cas de feu.
Avant l’effort, tous en conviennent, les cinq fruits et légumes par jour nous apportent à la fois liquides, vitamines et sucres nécessaires à la réalisation de performances de haut niveau. La difficulté consiste à trouver un large éventail de produits de qualités et cela quelque soit la saison. Voici notre sélection disponible toute l’année pour un parfait équilibre :
La pomme, pratique à emporter, peu fragile, elle offre l’avantage de parfaitement se conserver pour pouvoir en retrouver les bienfaits à longueur d’année sous forme de calvados, vieillit 5 ans en fût de chêne minimum. Evitez le fruit par lui-même, il faut le peler avant de la manger et cela laisse des déchets peu compatibles avec nos pratiques écologiques du parapente.
La poire, juteuse à souhait, elle s’accommode et s’ingère sous forme de Williamine de exclusivement. Ce n’est que sous cette forme que l’on a la garantie de ne plus trouver de trace d’engrais ou de pesticides, grâce à la méthode helvétique de distillation à chaud exclusive à cette marque de réputation mondiale.
La cerise, à l’eau de vie, sans les noyaux fait le bonheur des oiseaux au début de l’été. La préparation à l’eau de vie ayant pour objectif d’éviter de voir certains vers s’y développer, et donc de la laisser propre à la consommation pour les végétariens. Si vous avez du mal à en dégotter des bocaux dans les alpages, à défaut, vous pouvez toujours vous rabattre sur du Guignolet kirsch, plus facile à se procurer.
La pomme de terre. Evitez à tout prix les préparations frites, bien trop grasse, les doigts sont glissants dans les suspentages et on peu facilement tâcher la voile. En gratin, ça ne tâche pas, mais les vertus hydratantes sont réduites. Préférez-là distillée sous forme de Vodka, en ayant soin d’éviter les produits frelatés que l’on trouve parfois sous le manteau en provenance des pays de l’est, au profit de celles trouvées sur le blouson en provenance de vos collègues déjà plus en état de voler après y avoir gouté. Ce qui prouve la bonne tenue du produit, y compris aux plus faibles températures que l’on rencontre parfois aux barbules.
Le sirop de Grenadine. Un produit totalement sain et 100% naturel réalisé à partir d’un pur jus à base de : Colorants divers et variés, de conservateurs en quantité non négligeables, d’extraits de glucose de synthétisé, de framboises, cassis, groseilles, sureau, fraises, citron, et d’un arome artificiel de vanille. Certes pas la moindre trace de grenade, mais tout un large éventail de la production fruitière de la nation. Que du bon !
Allez, bon vol avec un esprit ceint dans un corset !
PS , je n’ai pas abordé les pinards, n’ayant absolument aucune connaissance en la matière vinicole, je laisse le soin aux spécialistes présents de complèter les recommandations.
Etonnant, je pensais qu’il y aurait quelques maîtres es-cépages fruités. 
La météo, l’envie, et le manque de disponibilité font qu’il nous arrive parfois de ne pas voler durant plusieurs jours de suite, voir encore bien plus. Ce gros sac à dos joufflu qui contient alors votre voile devient pour le moins encombrant et inutile. Il n’est pas rare en pareil cas d’entendre nos conjoints pester et promettre de s’en débarrasser un de ces jours si cela continue comme ça…. Inutile de dire que cette perspective est absolument inacceptable à nos yeux et à nos oreilles… pour le reste de nos organes, ils ne se sont pas encore prononcés, mais devraient certainement se rallier à la majorité. Dés lors, que faire de nos parapentes pour qu’ils deviennent utiles et indispensables à la famille lorsqu’on ne s’en sert pas pour voler ?
Si c’est les vacances, que la météo est plutôt clémente, la méthode des randonneurs parapentistes qui consiste à utiliser leur voile comme tente de camping est une bonne idée. Quelques sardines savamment plantés ça et là sur le pourtour, un extrados en guise de double toit pour l’étanchéité, des haubans à foison pour se prendre les pieds, des couleurs chatoyantes pour la bonne humeur, des caissons afin que chacun puisse ranger ses petites affaires à lui, une bonne ventilation pour chasser les odeurs de barbecue : vous voila avec un abri familial efficace et original. De quoi vous assurer un certain succès au Camping des Tamaris à La Baule cet été. Les propriétaires de Bi auront même de la place pour recevoir confortablement à l’heure de l’apéritif.
Si ce n’est pas encore la période des vacances, et que votre épouse vous reproche de ne pas participer suffisamment aux taches domestiques, servez vous de votre voile pour aller faires les commissions : une voile jetée en boule négligemment sur l’épaule, et vous voila muni d’un superbe cabas pour le ravitaillement à Carrefour. Et puis avec un caisson pour chaque type de produits achetés, vous verrez que c’est aussi beaucoup plus pratique au moment de ranger le tout une fois de retour à la maison. Enfin, l’argument incontournable : vous ne chercherez plus en vain la pièce ou le jeton pour ce p… de caddie qui couine et qui n’est jamais foutu de rouler droit !
Si c’est le soir et que le centre commercial est déjà fermé, on peut encore s’en servir de drap housse, pour ne pas salir votre lit lorsque les enfants et le chien viennent sauter dessus, ou encore lorsque vous vous couchez en gardant vos chaussures de rando aux pieds. On glisse chacun dans sa cellule à lui, en toute indépendance, au calme, et comme en plus ce soir madame n’avait pas envie… on évitera ainsi les contacts corporels à même de stimuler un besoin de 7ème ciel non partagé et toutes les frustrations qui s’en suivent.
Si votre épouse vous tanne depuis des lustres pour refaire la cuisine, outre le coût exorbitant de tels travaux, les blessures aves des outils contondants, le temps à y consacrer et les disputes inévitables sur l’agencement du mobilier, le choix de l’électroménager, la décoration, la pause du carrelage, la largeur des joints ou encore la plomberie, etc… Profitez qu’elle soit sortie quelques heures chez sa mère et faites lui la surprise : quelques clous au mur pour y tendre votre voile, de jolies étiquettes confectionnées amoureusement par les enfants disposées sur le bord d’attaque pour matérialiser les épices, le pain, les pattes, les casseroles, les couverts…et elle aura le plus original des mobiliers souples de rangement de cuisine. Un article dont le design et les coloris tendance feront la jalousie de ses copines. Et pratique avec ça ! Les jours de pluies, elle pourra même étendre sont linge à sécher sur les suspentes.
Alors, Chérie, merci qui ?..
En Provence à l’automne venu, vous pourrez aussi vous en servir pour récolter les olives en l’étalant au pied de l’olivier que vous aller secouer avec la vigueur qui vous caractérise. Une astuce(*) pour pratiquer le vol, même en période de récolte. Apprenez à réaliser des arbrissages de précision dans les oliviers sur une abattée contrôlée : la voile devant s’étaler au pied de l’arbre dans lequel vous allez finir une fraction de seconde plus tard avec la force nécessaire à la chute des fruits. Vous gagnerez ainsi du temps sur la cueillette et justifierez votre vol auprès des autres cueilleurs.
Quelques pilotes provençaux expérimentés ont tenté d’utiliser cette méthode avec plus ou moins de succès pour d’autres fruits : les figues de barbarie par exemple. On a toutefois noté un fort taux de reconversions anticipées vers la médecine douce chinoise, et l’acuponcture en particulier, la récolte n’ayant pas été aussi fructueuse qu’espérée sans doute. :fume:

soit ils sont saoul la table :bu: soit personne n’ose commettre de message dans ce fil, de peur de dépareiller ta superbe 
:clown:
Faut pas hésiter à dépareiller : la diversité ne peut qu’enrichir la vie ! 
Et puis à force je risque de tomber en panne sêche… ce qui serait un comble aprés ce sujet; ROTFL
Notre sport favori ne bénéficie pas du développement qu’il mérite. Cela est probablement du à une couverture médiatique faible, voir même très faible. Entend-on parler de nous en dehors des cas d’accidents tragiques dans les rubriques « faits divers » ? Assurément non !
A l’image de la natation, du football, ou du trial moto, il nous faudrait, pour passer ce cap afin de toucher un public plus nombreux, rendre la pratique plus accessible à tous et par tous temps, ainsi que des compétitions plus visuelles et spectaculaires pour le grand public.
La solution tient en un seul mot : Indoor.
Il nous faut organiser, structurer et pratiquer le vol indoor. Ainsi il deviendrait possible à tous de continuer de voler en période hivernal ou de nuit après le travail. Il deviendrait possible de s’entrainer en ville, les compétitions seraient moins sujettes aux aléas climatiques qui empêchent toute programmation d’une retransmission télévisée en directe actuellement. Pour rendre ce sport plus médiatique, il doit pouvoir passer en live, à une heure de grande écoute et dans des créneaux horaires stricts imposés par les grilles des programmes télé. Un Open de France de Parapente du Zénith de Paris, ou encore le Super Cross de Bercy, ça aurait de la gueule, ce serait vendeur, non ? :dent: :dent: :dent: :dent:
Compte tenu de l’espace réduit, il faudrait bien sur travailler un peu les ailes pour qu’elles soient plus compacts… peut-être des biplans à suspentage court. Quatre ou cinq souffleries à air chaud dissimulées dans le publique et pulsant de manière aléatoires en guise thermique, un parcours imposé pour que chacun puisse voir passer les compétiteurs et leurs machines prés de lui, des pom-pom girls souriantes et trépidantes sur écran géant, et le tour est joué. L’infrastructure est moins lourde et la compétition génèrerait bien moins de nuisances sonores qu’une compétition de motocross !
De plus cette activité, une fois « indoorisée », pourrait aussi être pratiquée dans les écoles et collèges, par des détenus de Fleury Mérogis ou des Beaumettes en réinsertion, et en toute sécurité ! Sauf si les gardiens décident eux aussi de s’entrainer au ball-trap lors d’un grand lâché le jour de l’ouverture… mais là, c’est plus tout à fait de l’indoor.
En revanche, coté retombées médiatiques, cela assurerait la une des journaux ! :ange:
je croit que pour faire monter la chaleur, l’ambiance, et bien d’autre choses aussi il ne faudrait pas négliger de mettre un de tes fameux ventilo d’air chaud sous le podium des pompomgirl

enfin c’est juste une idée en l’air

Par chez moi, on a ca, ouvert même l’été 
(bon, la lorraine est pas réputée caniculaire …)
http://www.snowhall.fr/images/piste/piste_pano.jpg
Alors, qui tente ?

karma+
= 2
Pour le speed riding ça peut le faire, mais il va vraiment falloir coller à la pente vu la hauteur sous plafond. Casque obligatoire :bang: :bang: Welcome les poutres :lol:
à mon avis pour “speed rider” cette piste il faut prendre juste un mouchoir au dessus de la tête
par contre pour le vol libre indoor à brecy je suis 100% pour… mais on aurait l’impression d’être des poissons dans un bocal, non ?
c’est trop beau pour être vrai 
clin d’oeil au périgourdin , on trinque
dans deux semaines j’vois le copain charpentier
Un peu comme les pilotes de course auto, qui y courent en kart, les athlètes qui y font des courses de fond, les trialistes indoor, Vélo-trial, escaladeurs, etc… mais en dehors du trial indoor, on en voit jamais à la télé , même sur Eurosport, tout comme le kart ou l’escalade… 
je crois que meme les véliplanchiste ont eu droit à un aménagement indoor … leur souffleries peuvent être très utiles
mais je reste septique
C’est sure que dans un local fermé, avec des engins de 10m de haut, des bulles qui n’ont pas le temps de monter qu’elles collent déja au plafond, 30m2 de toile prêt à chopper tous les rouleaux qui ne manqueraient pas de créer dans ce bocal et le risque de voir les pilotes se vacher dans le publique :banane: :mdr: :mdr: :mdr:
Au moins le spectacle serait garanti ! :sors:
En fait faudrait essayer… je pense que LE gars pr^ét à relever ce défit pourrait être surper FRIGORIFIX
For the weekend my dear friends :
Le recyclage des sellettes usagers.
En temps de crise, avec la montée de la conscience écologiste post-traumatique liée aux dernières catastrophes : Fukushima au Japon, et à la candidature de Nicolas Hulot chez nous, il n’est plus question de jeter nos sellettes usagées. Quand à refiler à quelqu’un d’autre la rondelle de tissus qui servie de nid douillet à votre fondement, mais aussi à absorber votre transpiration rectale et vos émanations gazeuses durant si longtemps,… n’oubliez pas qu’elle serait en mesure de pouvoir en révéler bien plus sur votre intimité que votre conjoint lui même, à cela, votre petite cœur sensible n’y résisterait sans doute pas.
Enfin, pour des raisons d’hygiène évidentes, il n’est pas question de laisser un autre y faire macérer son séant à loisir en s’envoyant en l’air ! :grrr2:
Je vous propose donc, surtout si vous avez déjà suivi mes conseils pour utiliser intelligemment votre voile dans la cuisine, d’assortir la thématique de la décoration de votre salle de séjour en recyclant votre sellette en pouf ou en fauteuil de salon à l’oriental, selon qu’elle est équipée d’un airbag ou d’un mousse-bag. Certes, elle est dépourvue des accoudoirs qui font le charme et le cheque de votre fauteuil égyptien chiné sur les bords de la mer rouge. En revanche son sanglage assure le remarquable maintien indispensable pour ne pas risquer de se blesser en s’endormant en sursaut devant la bande annonce d’un épisode de Derrick ou une énième retransmission des Chiffres et des Lettres, que belle maman, de passage chez vous depuis deux ans, ne manquerait de regarder pour rien au monde. La vie de famille… :dodo:
D’un autre coté, si vous possédez toujours cette sellette vintage de 1978 qui vous a vue débuter, il y a de forte chances que vous soyez aussi un collectionneur passionné, et que vos n’ayez pu vous résoudre à vous séparer de votre toute dernière 205 XAD blanche kitée GTI tuning. La seule que vous n’ayez pas pliée en faisant des burns sauvages sur un parking de supermarché en sortant de boite de nuit dans les années 80. Compte tenu de son énorme kilométrage et du fort potentiel stylistique de son kit carrosserie Turbo-Régis, le siège conducteur profondément affaissé peut être judicieusement remplacé par cette sellette. Les sangles-harnais achèveront de donner la touche finale sportive et racée à votre fougueux destrier millésimé. C’est sur, les meufs vont tomber !.. 8)
Pour les sportifs adeptes de la sellette cocon, une roue de vélo, quelques boulons prestement serrés, et vous disposez ainsi d’un remarquable side-car profilé étonnement léger. A attelé à votre Yamaha SR 125 qui n’en demandait pas temps pour aller tourner le dimanche à Carole, ou se tirer la bourre poignée dans le coin dans la montée du Castellet. Notez que dans ce dernier cas, le variomètre pourra lui aussi être recyclé pour vous aider à mesurer avec précision vos performances, tant dans les montées que dans les descentes de cols. Par ailleurs, le secours, lui aussi recyclé, pourrait bien s’avérer utile à la descente, compte tenu de la réputation de redoutable freineuse de votre bolide face à votre sens inné de l’attaque dans les épingles en surplomb. Chaud devant ! :dent:
En revanche si vous êtes un jeune père de famille tranquille et prévenant, votre sellette de seconde main remplacera avantageusement le vulgaire plateau en bois de la balançoire sur le portique du jardin. Ainsi, vos chers bambins disposeront de tout le soutient lombaire souhaitable pour qu’ils puissent grandir sans risque de scoliose, et du maintient utile afin de ne pas se faire éjecter de la balancelle suite à une de vos vigoureuses poussées…. Et puis leur mère sera tellement plus rassurée comme cela. Sourire attendri… :ange:
Enfin pour les voyageurs invétérés qui aiment à arpenter le monde en camping car, finie la corvée du bac translucide des WC chimique qu’il vous faut aller vidanger à l’autre extrémité du camping en exposant aux regards bienveillant des touristes présents le contenu du dit réservoir,… et précédemment de vos intestins dérangés par une sévère turista. Votre sellette de toile judicieusement percée et son airbag remplaceront avec bonheur la lunette de bakélite elle aussi percée, dont le premier contact froid vous glaçait les fondements. Douillet instant de détente. :clown:
Une recommandation toutefois : si votre sellette était équipée d’un mousse bag, certes pratique pour éviter le ballotement des matières susceptibles d’aggraver le roulis de votre habitation mobile sur les routes sinueuses de l’arrière pays, il faut bien reconnaitre que la vidange et le curetage n’en sont pas pour autant rendu plus aisés… et l’essorage de la mousse avant de la mettre à sécher est un grand moment de bonheur rare. A savourer intensément. :fume:
Avec les premiers candidats qui se déclarent, alors que d’autres qui ne disent rien tout en laissant entendre que tout est possible, tandis que certains s’élèvent déjà contre d’autres encore qui se couchent, pour mieux pratiquer le retrait de dernière minute, la langue de bois et de pute, – qui ne sont pas que des méthodes de contraception traditionnelles – il en est encore qui font mine de ne pas y penser en se rasant pour mieux nous tomber sur le poil et nous tondre le moment venu. En deux mots : la campagne présidentielle est lancée, la guerre des affiches va commencer.
[i]« Sachant que pour chaque affiche d’un encollé (le candidat, je dis bien avec un O, et non pas un U, ici n’est pas mon propos), elle vient à être recouverte dans les 24h par trois autres encollés et douze mètres linéaires de tag irrévérencieux, le coût de l’affiche et de son encollage sont alors hors de prix, ramené au public qui sera en mesure de la lire… et totalement exorbitant par rapport à l’infime quantité de ceux qui le feront vraiment.
Messieurs les directeurs de campagne, je vous propose donc un moyen d’affichage pour vos candidats vous assurant à la fois :
Affichez vos candidats et slogans sur des parapentes !
En échange d’une somme modeste – environ 3000€ par mois, vous disposerez d’un support de 22 à 30m2 utilisable sur ses 2 faces et idéalement situé en altitude les jours de beau temps pour une meilleure visibilité.
La nouveauté principale, outre le format et le support, tenant à la possibilité d’utiliser les 2 faces pour présenter aussi la face cachée de votre favori : la pince à linge qui lui maintien le sourire figé, le doigt dans cul pour lui donner ce regard si expressif et jovial, les biftons détournés dans la poche arrière du bénouze, … enfin toutes ces petites choses à même de le rendre plus humain et proche de ses électeurs.
Ce mode d’affichage novateur va mettre le feu à une campagne qui s’annonce si terne. Deux pompiers, et votre candidat sera en haut de la grande échelle des sondages la lance à la main, avec sa bible et son couteau, prêt à défendre la veuve et l’orphelin avec toute l’altitude qui sied aux plus hautes fonctions… et aux petits hommes qui les grimpent. » [/i]
Amis parapentistes, vous l’aurez compris, l’heure est venue pour nous de rentabiliser notre espace de voilure en nous offrant au plus offrant. Par ailleurs, nous devrions aussi être en mesure d’obtenir des rentrées d’argent de la part de instituts de sondage qui n’auront plus besoins de se livrer à de dispendieuses et complexes enquêtes d’opinion auprès du public qui s’en bas les couettes pour savoir qui monte, qui descend, qui n’arrive pas à décoller, qui vient de se casser la gueule, qui va se bruler les ailes au soleil, qui tourne en rond, qui louvoie entre ses adversaires,… et qui ira le plus loin !
Cher collègues pilote, ne croyez surtout pas qu’une fois le deuxième tour passé, votre voile sera bonne à jeter ! En effet, statistiquement vous devriez pouvoir la ressortir tous les 5 ans et au bas mot pendant 20 ans, - s’il existe un digne successeur à F. Mitterrand ou à Arlette L, misez sur eux sans crainte, c’est pour les 40 ans à venir au bas mot - voir plus régulièrement encore si vous vous vendez à un député ou un sénateur. Avec le cumule de mandats que tous dénoncent, mais qu’ils pratiquent sans exception abondamment, nul doute que vous devriez pouvoir voler toute l’année, tous frais payés pendant des lustres.
Qui à dit que le parapente ça coutait cher ? 
je propose l’interdiction de voile à l’effigie du clan du borgne (trop dangereux de voler avec un seul œil) :canape: oops je me suis toujours dis pas d’implication politique dans mes loisirs
De toutes façon il n’est plus candidat :canape:
… Et puis quite à “faire de la politique activement” , rien n’empêche d’avoir plusieurs voiles avec différentes déco… selon qui paye… c’est ce que l’on appel la valeur de l’exemple des classes dirigeantes. :sors:
Bien que … :grat: je ne laisserais à aucun d’eux le soin de tenir les commandes de ma voile, même au sol. Trop risqué. :vrac:
Lorsque le temps se lève, les pilotes qui sont déjà en l’air ne sont pas couchés….Il doivent piloter activement des ailes et des sellettes qui les secouent ! Et c’est sans compter le temps de réaction propre à chaque pilote qui le rend souvent susceptible, et pas uniquement en raison de son sale caractère, mais aussi susceptible de piloter à contre temps et donc de marcher sur les pieds de sa cavalière qu’est la voile lors de ce ballet aérien.
Sachant que la première chose qui nous est apprise lors de notre initiation est justement de garder le contact des freins avec une tension à peu prés constante des deux coté, tout en la laissant « vivre » et bouger un peu, ce qui est normal, la masse d’air n’étant pas par définition d’une totale homogénéité, je propose donc d’introduire une trentaine de centimètre de sandow dans la ligne des suspentes de frein afin d’amortir les brusques déformations de la voile et de garder en permanence le contact. Ainsi, plus aucun surpilotage et un maniement des commandes plus fluide seraient assurés même dans la tabasse.
Pour ce qui est du confort à la sellette, une certaine élasticité des suspentes serait un plus. Toutefois en raison des risques majeurs de pollutions liées à la production des fibres synthétiques généralement utilisées dans le suspentages des parapentes, je propose de remplacer le Dynamea et les autres cochonneries à base de produits pétroliers couteux par un produit abordable, sain et naturel, connu et utilisé en orient depuis des millénaire : le spaghetti.
A puis quelle facilité pour adapter le taux d’amortissement aux PTV et aux préférences de chacun ! Deux minutes de cuisson pour 120 kg de PTV et un confort à l’allemande, onze minutes pour les moins de 50 kg qui souhaitent voler façon pullman dans de l’huile d’olives. Tortellini pour les acrobates déguisés de la coupe Icare, etc…
Un autre avantage auquel on ne pense pas assez : le vent forcit, vous vous laissez embarquer et devez finir par vacher en terre inconnue, ou encore un cross qui se passe mieux que prévue vous faisant tutoyer les records de Mr Arnaud lui-même mais la BX break de votre beau-frère qui était censé vous récupérer tombe en panne en chemin, vous êtes victime d’un arbrissage à la tombée de la nuit dans un endroit particulièrement inaccessible de la forêt noire, en tentant un décollage de folie du sommet du Cervin votre voile est resté accrochée dans la barre rocheuse de la face nord… bref, vous êtes paumé seul en pleine nuit loin de la civilisation. Il vous restera toujours 150 mètres de spaghetti à manger pour tenir jusqu’à l’arrivée des secours. C’est important les sucres lents pour le moral quand on attend les secours !… et cela fera toujours ça de moins à replier dans le sac.
Une astuce pour faciliter le démêlage des suspentes en spaghetti : ne lésinez pas sur le volume d’eau de cuisson, 1 litre minimum par 100grammes de pâte, et surtout n’ajouter pas de sel dans l’eau, cela baisse artificiellement et inutilement la température d’ébullition. Versez une cuillère à soupe d’huile d’olive par litre d’eau portée à ébullition, avant de verser les pâtes. L’eau doit bouillir à grosse bulles avant et pendant toute la durée de la préparation. De votre coté vous remuerez toutes les 30 secondes avec une cuillère en bois chêne massif. Et puis une fois égouttés, mélangez au spaghetti le traditionnel morceau de beurre salé. Pourquoi, salé ? Tout simplement parce que le jour ou vous les mangerez, il n’est pas dit que vous ayez une salière sous la main. Ainsi vos suspentes ne seront pas collantes, bien fluides et salées à point.
Cette méthode de cuisson m’a été confiée par le psychologue en chef de la direction des ressources humaines du fleuron de notre industrie nationale de la pâte alimentaire : Lustucru, qui l’eut cru, et même cuite ! Un homme qui peut fièrement inscrire sur son CV sa riche expérience en qualité de Psyco-pâte. Si d’aucun parmi vous veniez à doutez de ses compétences, sachez qu’il n’y à pas deux fêlés chez Lustucru, notre homme étant la démonstration de ses facultés toutes aussi remarquables qu’uniques ! :forum: