Je trouve que dans le genre, Thierry n’est pas mal non plus karma+
Les fautes dans un délire c’est pô grave… ça y contribue même parfois . 
A propos de l’idée de Thierry, Il y a déjà un site dans Paris, en plein centre ville, on doit être la seule capitale mondiale ainsi équipée :dent: … comme les parisiens ont de la chance…
…et puis ou en sont les concepteurs du “site portable” ? :grat:
Mais revenons en aux choses sérieuses : 
Tant chez les compétiteurs de haut vol que chez les pilotes communs, la recherche d’une meilleure pénétration, dans la masse d’air et dans sa sellette, est devenue priorité, surtout depuis l’arrivée dans notre discipline de nombreux pratiquants des sports de glisse, impatients et avides de vitesse.
Je propose donc une nouvelle forme de vol qui devrait se répandre et se développer avec grand sucés cet été sur tous les spots les plus en vue.
La recette :
Sélectionner une journée d’été particulièrement ensoleillée, n’hésitez pas choisir les heures les plus chaudes, habituellement peu propices à des conditions de vols calmes, en raison d’une activité solaire et thermique débordante. Ce n’est pas grave ici, car ils resteront loin de tout relief susceptible de faire de l’ombre d’avoir un impact sur le gradient des températures et l’agitation désordonnée de la masse d’air.
Les pratiquants doivent préalablement se dévêtir totalement et s’enduire le corps d’huile, naturelle, végétale, ou à bronzer indice 20 w 40. Un tel indice de viscosité optimise la pénétration dans la sellette et la masse d’air, tout en garantissant une tenue exceptionnelle aux plus hautes températures garantie par l’UTAC.
Ils décolleront alors s’en tarder en sellette string, face au sud ! Ou au Nord…. Ou alternativement, en ayant soin de ne jamais voler dans l’ombre de leur propre aile. Une voilure de surface réduite, mini-voile (une voilette) par exemple, est donc toute indiquée pour cette pratique.
Attention, la chose n’est ni facile, ni confortable, et ne doit donc être exécutée que par des pratiquants avertis. Un pratiquant averti en valant deux, il convient donc de prêter une attention toute particulière au respect des limites du PTV préconisés par les constructeurs afin de ne par sortir du domaine de vol.
Généralement, après une heure et demie à deux heures de vol dans un ciel dégagé, c’est prêt, vous êtes cuit à point : c’est ce que les spécialistes appellent le SPEED FRYING.
Inutile de rester plus longtemps sur votre lieu de vacances. Vous pouvez retourner au boulot fissa, vous avez suffisamment bronzé et donc plus rien à foutre ici ! 