Les pratiques improbables

Gloire à vous mon cher Thierry
vous venez d’inventer un moyen pour transformer n’importe quel poisson
… en poisson volant

le prix Nobel vous guette

Merci cher Thierry ! :bisous:

Effectivement, surtout chez les pilotes orientaux l’aquarium à poissons rouge et la fontaine en bas relief de l’époque Ming XXI dorée éclairée de l’interieur, ont des vertues apaisantes reconnues et pratiquées dans tous les estaminets asiatiques dignes de ce nom.

Comme vous le signalez à juste titre, le choix du poissons est crucial. N’oubliez pas qu’il doit être choisi bien frais, et que les races de poissons vivant en d’altitude ne sont pas monnaie courrante sous nos latiltudes.

La race plus inapropriée, à banir impérativement ne vient pas uniquement d’amérique du sud comme on pourrait le croire, mais plus simplement du pouf du salon, voir éventuellement des zones d’activité alimentaires de la cuisine, on la nomme : la Pire-nana, aussi connue sous le sobriquet usuel de “ménagère commune” ! :grrr: :affraid:

A moins de 500m, on commence déjà ressentir ses effets anxiogènes et traumatiques sur son environnement…

En revanche karma+ pour coffre de pirate, toujours de bon goûts et qui s’adaptera avec élégance et distinction à votre intérieur de cocon.

Un dernier détail que j’ai omis… le repose mouffle, indispensable à tout pilote distingué et soigné de sa personne, car le pilote est un homme et les gants ! Et il convient que cela perdure ainsi. :wink:

Questions pour le WE :

  • En quoi la rediffusion sur France 4 le 12 octobre 1998 du 628ème épisode de « Amour, Gloire et Beauté » a-t-il changé votre pratique du vol libre ?

  • A quand la commercialisation de voiles Hermes 100% pure soie de chine avec chauffeur en livrée au parapente shop de Megève ?

  • En vol bivouac, vous êtes plutôt : Tartiflette ou Museau à la vinaigrette ?

  • Jusqu’à quelle altitude peut-on élever le débat ? La couche d’inversion ou la TMA de Marignane doivent-elles être prises en compte ?

  • Coriolis ne marchait pas droit : parce qu’il avait bu, parce qu’il avait une jambe plus courte que l’autre ?

  • Le sens de l’observation est-il un sens unique, un sens interdit, un sens caché ? Répondre de manière étayée par oui ou par non.

  • Un escargot en petite tenue, c’est une limace ?

  • Vol à voile ou à vapeur ? Et les raviolis, à voile ou à vapeur ?

  • Votre Gin, vous la préférez moulante ou baggy ? A boutons ou zip ?

pour les sites de soaring long de 100 km je propose la création d’une aile dahut qui comme l’illustre animal dont elle porte le nom aurais des élévateurs plus court d’un coté que de l’autre.
a mon sens elle devrais aussi être imbattable pour tourner dans les thermiques!

Bonne idée, et puis avec des voiles à un seul sens… les BE sauront où récupérer leurs élèves : tous au même bout de la dune . :pouce:

" :prof: Pour l’autre sens, faudra revenir a un autre stage" … et commeça pas de risque de se retrouver face au relief. :wink:

Sécurité optimale !

je suis certain que les écoles vont approuver cette nouvelle formule
un stage pour aller à gauche
et un stage pour aller à droite
et enfin un stage de perfectionnement pour faire l’aller retour avec une voile non-dahut
sans compter les constructeurs
qui vendrons beaucoup plus de voiles

le marché est très prometteur

On était un marché de niches (comme le dirait mon chien), et on s’oriente vers un marché de ruche : trainez pas dans les rayons, vous finirez en cellule :trinq:

Y a un autre marché pour votre voile Dahut auquel vous n’avez pas pensé. Enfin pour y penser il faut avoir une certaine prédisposition (comme dirait Perceval « C’est pas faux »).
Observez que :

  • Beethoven avait des prédispositions pour créer des symphonies … il était sourd.

  • GillesF avait des prédispositions pour pondre sa théorie de l’influence des couleurs… il est daltonien.

Concernant ma pomme, j’ai eu la chance de faire une vilaine chute de vélo à la fin de l’année dernière => vis+plaques, bobos divers… et cadô bonus, je me retrouve avec une jambe plus courte que l’autre… et surtout une prédisposition…

La voile Dahut va me permetre de faire économiser l’achat d’une semelle orthopédique, et ça c’est génial !

Merci stephb24

http://locations.vallerian.pagesperso-orange.fr/images/cliparts/dahu-plan2.jpg

Bon sang, déjà que d’hab, faire un gonflage bien symétrique, c’est pas facile, mais alors si en plus tu cours pas droit, en demis-travers dans la pente, fuiiiiii… ça ne facilite pas les calculs des trajectoires. :grat:

Faudrait pas qu’en plus il y ait dans le publique quelqu’un qui joue avec un électroaimant a proximité, vue toute ta quincaillerie métalique.

Si un jour t’arrive plus a diriger ta voile, jettes un oeil au sol si des fois il n’y a pas un gamin qui joue avec la radio-commande de son modèle réduit. :sors:

Bonjour à Tous,

Vu que samedi dernier à Oraison, et pour la première fois de ma trés longue carrière, j’ai enfin réussi à tenir prés de 5’ trop perdre d’altitude et sans aller poser direct, je me sents maintenant parfaitement qualifié pour vous filer les bons plans en matière de cross et vols de durée. Plans, qui seont applicables dés le WE pour la compèt de cross amicale de de la Ste Victoire… comme s’il y avait des compèt amicales entre warriors … :roll: : Ou trouver l’ultime pompe ?

:prof:

Qui ne s’est pas retrouver un jour ou l’autre en train de gratter les pieds ras de la végétation, à la recherche de l’ascendance salvatrice, quelle qu’en soit l’origine, thermique, dynamique ou autre, afin, soit de prolonger encore un peu le plaisir d’être en l’air, ou plus modestement afin d’éviter ou de repousser un peu le crash et la catastrophe qui se profilent de plus en plus inéluctablement.

Je ne parle pas ici du compétiteur de haut vol, qui déjà à une altitude confortable au dessus d’une plaine accueillante, calcul le meilleur coup à jouer entre le maxi-plaf et la transition de la mort qui tue qui va lui assurer une solide avance. Tssss, là c’est trop facile, c’est de la stratégie, point barre. Non moi je parle du gars qui est en pleine dégueulante au dessus d’une plantation cactus joufflus à flanc de falaise. De celui dont les pieds sont déjà tout parfumés à la sève des conifères géants qui l’entourent a perte de vue. De celui-ci qui est littéralement en train de marcher sur la canopée à finesse max depuis 10 mn sans avoir aperçue une seule fois le sol. Le type en pleine PT8 au milieu des Everglades sous les regards avertis et goulus des caïmans qui sont déjà en train de se répartir ses morceaux de choisis.

Pour tous ceux là, et d’autres en situation extrême, je vais vous aider à trouver LA micro ascendance qui, exploitée avec toute l’énergie du désespoir, vous permettra peut être de remettre à un peu plus tard, la triste fin qui vous attend.

  • Dans le cas ou vous seriez en phase terminal au dessus d’un troupeau de prédateurs affamés, genre crocodiles, ours polaires, et autres grands fauves, jeter un œil s’il n’y aurait pas à portée de vue les restes d’une précédente victime. En effet, lors des phases de putréfaction et de décomposition des cadavres, il n’est pas rare que des dégagements gazeux salvateurs puissent se produire. Pour peu que la charogne ait séjourné un minimum de temps à bonne température, vous avez une chance. A défaut, si vous ne volez pas seul, laisser les autres pilotes se poser en priorité… certains, c’est connu, souffrent de dérèglements intestinaux en pareil cas : c’est toujours une petite source de chaleur, mais préparez vous a devoir noyauter serré…. Et puis si vraiment cela ne le fait pas, signalez tout de même autres votre position par radio. Sait-on jamais si votre dévouement peut vous rendre utile ultérieurement, vous ne serez pas mort totalement pour rien.

  • Si vous êtres à la ramasse dans une contrée moins sauvage et beaucoup plus industrialisée, une centrale nucléaire est toujours une alliée précieuse. Alors rendons grâce ici à nos dirigeants éclairés et avisés qui ont fait le choix du tout nucléaire. Les larges cheminées facilement reconnaissables entre toutes ont pour avantage de permettre de larges virages bien à plat sans augmentation excessive du taux de chute, ni sans se gêner lorsqu’on est à plusieurs. Mais ce n’est pas tout ! Et c’est là qu’on regrette de ne pas avoir recours plus souvent aux services Pallas **** de la COGEMA : la vapeur d’eau émise à la juste température à des effets hydratant pour la peau du pilote, souvent desséchée et maltraitée par les agressions du vent et du soleil. Cette même vapeur, autre propriété, défroisse aussi en douceur les voiles fripées et les visages pleins de faux plis. Les blancs des intrados légèrement passés par la poussière ou ternis par des années d’utilisation intensive retrouvent tout l’éclat de leur jeunesse. Les couleurs chatoyantes des extrados sont ravivées par les rayonnements radioactifs aux fréquences judicieusement choisies !.. Attention tout de même, il ne faut pas croire pour autant que l’approche d’un tel site n’est pas totalement sans risque. Il convient de bien le savoir. On à déjà vu à de nombreuses reprises des pilotes tenter un sauvetage de la dernière chance sur les cheminées de Tricastin ou de la Hague et y rester. Comme les récents évènements de l’hiver passé l’ont démontré, on n’est jamais à l’abri d’une panne, d’un incident de niveau III, d’un arrêt pour maintenance programmé, voir d’une grève surprise ou non de certaines catégories de personnel qui vous ferait vous retrouver avec une centrale qui ne vaporise pas. Rappelons tout de même qu’en pleine période de demande de pointe en décembre dernier, 7 sites de production sur 12 étaient en arrêt programmés, et 2 en panne ! Une bonne lecture de la presse régionale spécialisée s’impose donc avant tout vol.

  • Si vous vous êtes laissé entrainer par mégarde en milieu urbain à forte densité, la porte de sortie toute désignée c’est la cours du lycée. Non pas que vous puissiez y poser dans de bonnes conditions, loin s’en faut : C’est surtout qu’une fois au sol, votre sécurité ne pourrait plus y être assurée (racket, vol à l’arraché, agression à l’arme blanche ou lourde,… on ne compte plus les exemples). En revanche arrivé à quelques dizaine de mètres au dessus des groupes d’ado, à portée de voix, mais pas des jets d’objets divers qui pourraient toujours survenir, commencez à noyauter proprement et demander…. un coup de main, par exemple, à un maximum d’entre eux. Demandez leur n’importe quoi en fait : Comment vont les études, ce qu’ils feront plus tard, ce qu’ils pensent de leurs parents, du programme de terminale STI, des réformes à venir, des enseignants en grève, voir même un peu d’aide…. Peu-importe ! Et là attention à bien gérer le pétard qui va arriver dans la foulée. Je ne parle pas du cône à 4 feuilles parfumé aux herbes de provinces ensoleillées, pétard dont ils ne se dessaisiraient pour rien au monde, mais au souffle : Un souffle cataclysmique, atomique, plus redouté ici qu’en cas d’explosion d’une centrale dans l’exemple précédent.
    En effet, comme vous le savez-tous, quoi que vous demandiez à un ado, ou mieux encore, à un groupe d’ados, l’unique réponse obtenue est invariablement un profond « Pfffffffff…… » en levant les yeux au ciel. A vous d’en profiter de cette « bouffe », il n’est pas dit que vous les intéressiez suffisamment à l’avenir pour qu’ils écoutent une deuxième question de votre part.

  • Une ligne très haute tension d’ERDF peut aussi vous être du plus grand secours, mais elle nécessite un pilotage de haute précision. Tout en finesse, mais vous êtes encore vivant à ce jour, c’est que vous êtes de ceux qui en sont : capables.
    Vous êtes en perte d’altitude au dessus du massif alpin et vous pénétrez dans un parc naturel régional d’intérêt capital qui abrite une zone de nidification d’une espèce de Corneille commune en voie de disparition et classée au patrimoine mondiale de l’Unesco. Interdiction formelle de vous poser à moins de 5km, sous peine se servir de cible vivante aux tirs des chasseurs de Corneille défenseurs de la nature. Par chance, un rouleau vous plaque au pied d’une falaise de 1200m de haut, tout juste enjambée par une magnifique ligne très haute tension du collectif de designers contemporain à la mode : ERDF, dont la culture française peut s’enorgueillir sans rougir. Entre la falaise et les 320 000 volts, il va falloir la jouer fine. Vous aurez pris soin préalablement, d’avoir réalisé 15 à 20 minutes de 360 engagés au cœur d’un cumulonimbus de passage à fond de 3ème barreau. Vous aurez ainsi à coup sur emmagasiné dans votre voile argentée et vos suspentes en fibre optique le minimum d’électricité statique requis pour la manœuvre suivante. Présentez-vous sous la ligne, au pied de la falaise. Vous aurez soin de garder entre 1m et 1.25m de marge entre l’extrados de votre aile de compète et le câble principal. Un bel arc électrique constant et régulier est un bon indicateur. Des étincelles et de fumée en plus sur vos mains : vous êtes un poil près. Des craquements intermittents, un bruit irrégulier, vous êtes un chouïa trop loin. Levez alors les mains et poussez encore sur le barreau face à la montagne. Normalement le champ magnétique des câbles doit vous remonter sans coup férir jusqu’au prochain pylône.
    Deux choses tout de même, vous devez quitter ce champ magnétique avant d’arriver à moins de 5m du pylône suivant… la dérivation vers le sol des ions chargés qui va alors se créer pourrait se révéler stressante pour les Corneilles communes en pleine nidification dans les superstructures du pylône. Second point : Si vous avez des origines sub-sahariennes, même lointaines, portez des chaussures montantes à semelles de crêpe. Au cas où la manœuvre échouerait, les techniciens d’ERDF qui viendront vous rechercher apprécient toujours les galettes au Sarrazin qu’ils retrouvent sur place. Cela ne coûte presque rien, ça fait toujours plaisir, c’est bon pour le moral des troupes et les relations avec les services publiques.

  • Le grand classique rural dans les zones d’élevage extensif… donc peu applicable en Bretagne ou il ne vous reste plus que le lisier pour pleurer : Une bouse !
    A choisir impérativement bien fraiche. J’entends par là de facture toute récente et encore tiède : à peine démoulée. La galette desséchée, si elle dispose de remarquables qualités en tant que matière première pour alimenter un feu de camp, ou encore afin de préparer un repas goûtu au fumet de premier plan, même si la tentation est grande, n’est pas adapté au maintien en sustentation du vélivole.
    En revanche, une galette directement issue du producteur est une bénédiction, car souvent accompagnée lors du service par quelques émanations de bulles de méthane bienfaitrices.
    Il va toutefois vous falloir jouer serré et sans perdre de temps : d’abord en raison d’un diamètre de thermique largement inférieur au rayon d’évolution standard de votre aile, mais surtout parce que la concurrence va être extrêmement rude : à tous les coups un bon nombre de mouches et autres scarabées sont aussi sur l’affaire, et ils tiennent fermement le haut de la grappe à peine l’ascendance détectée. Ne lâchez pas le morceau, ayez du mordant, battez-vous ! Ceux qui ont une solide expérience de la compétition auront ici un avantage incontestable.
    Attention, selon les régions, les périodes et le régime alimentaires des ruminants producteurs, nous recommandons la plus grande prudence aux pilotes allergiques aux graminées. Imaginez les conséquences d’une crise d’éternuement alors que vous pratiquez des manœuvres engagées, le nez à quelques centimètres seulement au dessus d’une bouse encore tendre et moelleuse !

  • @ Wikipédia : Myosotis est un genre de plantes de la famille des Boraginaceae. On en retrouve une centaine d’espèces dans les régions tempérées ou montagneuses à travers le monde. Certaines espèces sont utilisées pour le fleurissement des jardins. Elles se ressèment facilement et peuvent devenir envahissantes. Les espèces sauvages présentent des fleurs de couleur bleue, parfois rose ou blanche.
    Vous vous demandez sans doute pourquoi je vous parle ici du Myosotis ? Et bien c’est pour vous donner LA solution lorsque vous êtes en perdition à la nuit tombante, avec la canopée qui s’étend sous vos pieds à perte de vue : sachez qu’une sous espèce bien spécifique de cette race : le Myosotis sylvatica qui se rencontre au plus profond des forêts les plus impénétrables, et dont les petites fleurs bleu ciel sont facilement identifiables depuis un parapente orange, ont une particularité aussi étonnante que salvatrice pour nous. Toute la journée durant, les petites fleurs de cette sous-espèce captent avec leurs pétales les rayons ardents du soleil. Son pistil aux vertus adhésives se charge de maintenir au centre de la fleur une bulle de plus en plus chaude. Au coucher du soleil, la fleur se rétracte brusquement, chassant ainsi la bulle d’air chaud vers le ciel avec quelques spores de son pollen à semer aux quatre vents.
    Dit comme cela, ce n’est rien. Mais imaginez maintenant un massif de plusieurs centaines de milliers de fleurs de Myosotis qui se rétractent d’un seul coup, d’un seul, et vous obtiendrez une magnifique ascendance thermodynamique non négligeable. Certes, fugace, hautement allergisante, difficilement exploitable tant que vous ne resterez à voler au dessus des fougères qui les recouvrent, mais bien réelle.
    A vous de trouver le moyen d’en faire quelque chose, parce que la nature est tellement belle que ce serait bien dommage d’être allé jusque là bas, et de ne pas en profiter !

  • Bien plus efficace en termes de rendement dynamique… mais tellement difficile à trouver en outdoor : la réunion de service hebdomadaire, Le conseil d’instances fédérales élargie, l’assemblée générale des colocataires, la réunion syndicale, le meeting politique, Un conseil des ministres… enfin tous ces lieux ou un bon nombre d’individus variés se regroupent en masse pour brasser de l’air et faire du vent à tout va.
    LA difficulté majeure ici, c’est que cela part dans tous les sens, de manière tellement désordonnée, que personne n’a jamais réussi à en sortir quoi que ce soit d’exploitable.

CQFD

Tu as des réveils fulgurants, tu es sûr que tu as bien pris le bocal de sucre en poudre pour ton café :shock:

Merci pour cette bonne partie de rigolade . :coucou:

Pas de café le matin, donc pas de sucre ni autres poudres. :wink:

Et puis en moyenne un texte doit murir 24 à 48h, celui là il a été pondu - principalement - jeudi/vendredi… avant que je ne sache tenir :mrgreen: … enfin tenir un tout p’tit peu. :mrgreen:

Au fait vite fait en HS : J’ai réduit ma conso de café de 5/jour à 1/jour, je dors comme un bébé (j’avais quelques insomnies et même des tachycardies nocturnes ) je sais , c’est pas grand chose mais si ça peut aider certains d’entre vous … :dodo:

toujours aussi grandiose gillesf

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karma+

Dormir comme un bébé :

Pleurer 1 heure, Bouffer 1 heure, chier, dormir 30mn, Pleurer 1 heure, Bouffer 1 heure, chier, dormir 30mn, Pleurer 1 heure, Bouffer 1 heure, chier, dormir 30mn, Pleurer 1 heure, Bouffer 1 heure, chier, dormir 30mn…

Ta femmes me dit qu’elle préférais quand tu buvais du café. , :canape:

ben oui … il passe son temps à bouffer … mais quelle bouffe :pouce: le nez collé sur un sein … puis l’autre :dent:
ça c’est la vraie vie :taupe:

Ca se voit que c’est pas à toi qu’on met des couches… :roll:

Et si le vrai challenge pour les parapentistes du XXIème siècle était de quitter la stratosphère pour partir voler au gré de vents cosmiques ? :grat:

Quelques premiers éléments de réflexion : Pour ce nouveau défi, plus besoin de tenter de réduire le poids du matériel à tous prix. Etant hors de portée des forces d’attraction terrestre, le poids apparent n’est plus un problème. En revanche quid du rappel pendulaire et de la charge ailaire pour éviter les fermetures un temps festives ?

Quelles sont vos idées, et réflexions sur le sujet ?

Quitte à voyager dans les étoiles, on peut aussi se poser la question des constellations les plus favorables au parapente : Le poisson, le verseau, le taureau, le cancer ? Est-ce que la date de naissance du pilote intervient ? A cela je peux dés maintenant répondre que non. Votre signe astrologique occidental n’est pour rien dans vos qualités de pilote. En revanche et c’est bien logique, votre ascendant en astrologie migratoire : oui ! Trés important l’ascendance pour nous ! :pouce:

Voici quelques prévisions astronomiques, car particulièrement coûteuses, dédiées aux pilotes intersidéraux :

Balance : vous allez zéroter.

Verseau : Dégueulantes à craindre, vous finirez au tas.

Cancer : gardez le cap.

Poison : Vous finirez panés dans la cuisine de Neptune.

Taureau : Si vous avez de la chance, vous vacherez, sinon, faudra vous finir au sabot.

Morpion : Accrochez vous, ça va gratter l’Uranus !

Sagittaire : Vous serez secoué.

Lion : Un coup de barre, sur Mars et ça repart.

Chèvre : Y’a pas de mais… ce sera vous le fusible, méfiez vous des Béliers et du bâton de berger.

Gémal : On vous avait prévenu ! Pas de 360 trop prés de saturne avec les jambières trop serrées : vous avez finit par vous coincer un satellite dans les anneaux.

Vierge : Faites croire ça à qui vous voudrez, mais pas à nous… vous aurez attrapé des champignons vénénus

Capricorne : Vous allez arbrir violemment sur une poutre et vous incruster. Evitez les thermites trop violents.

Après les signes du Zodiac, nos prévisions pour les signes du chalutier (C’est de l’astrologie bretonne) :

Morue : Toujours prête au déco, c’est 50€ pour voir la poussière des toiles.

Bigorneau : Force 3 à 4, fraichissant à 5 sur Sud Iroise, Nord Vaucluse, Grand Bank, BNP Paribas et basse Vallouise en Carton. Gardez les opercules fermés !

Moules : Faudra vous accrochez : gardez le sourire aux lèvres et les frites à la mayonnaise.

Bar du Port : Grosses sorties de bière vers 18h, forte houle en sortie de rade.

Porc Breton : Rade ensoleillée, jambon grillé. Vol au dessus des cheminées, jambon fumé.

Choux fleur : 0.95€ la cagette à Lamballe et 1.20€ le kg à Rungis.

Bigoudène : Soignez le gonflage de la coiffe, coincez les freins dans les oreilles, on décolle,… les oreilles !

Lann-Bihoué : Crachin et Rafales de l’aéronaval en approche sur la piste 2, à vous la tour de souffler dans l’bignou.

Goayland : A voile ou à vapeur.

Goélette : plus de voile, tout le monde est passé aux vapeurs de diesel, machine à vent toute. Etonnant, non ?

Ker-Maria : machine à laver Maria !

Pas évident, n’est-ce pas ? S’il est vrai que l’espace est obscur est abscond, et que traverser les constellations soit consternante, le vide intersidéral n’en est pas moins sidérant. C’est ma vision des prévisions que je vous partage. :bu:

Gilles … je ne sais pas ce que tu :trinq: mais c’est véritablement de la bonne :pouce:
change pas de main
karma+

M’ci. Pour ta peine je t’en envoi une autre. :trinq: