Bonjour M@tthieu,
Merci, oui le plaisir est toujours présent, surtout sous la Rush 4 qui est exactement la voile qu’il me fallait, bonne communication, bon glide et assez cool 
Bon vol en évitant la pluie, c’est moins bon pour voler.
Jean-Nono
Bonjour M@tthieu,
Merci, oui le plaisir est toujours présent, surtout sous la Rush 4 qui est exactement la voile qu’il me fallait, bonne communication, bon glide et assez cool 
Bon vol en évitant la pluie, c’est moins bon pour voler.
Jean-Nono
C’est moins bon et les oreilles collent ! En tout cas tu es un champion toi, pas comme moi !
Hello Mathieu, tu fais de la moto aussi ?
C’est rare les parapentistes qui mèlent 2 passions; Soit mes potes font de la moto, soit ils font du parapente mais ce ne sont pas les mêmes.
Pour ma part quand j’ai plié l’Alpha 5 et que les conditions sont trop soutenues pour mon petit niveau, je prends la Harley et part faire une virée, les moustaches au vent, tout comme en parapente, le bruit en moins…
Bonjour Pascalou05,
Je fais aussi de la moto et du parapente, c’est en fait assez commun d’après ce que j’ai lu… Liberté quand tu nous tiens 
Bon vol,
Jean-Nono
Trois passions, l’escalade le soir ou quand il pleut en salle. Sinon, une bonne douzaine de motos (des gros cubes surtout car j’aime bien la vitesse et le couple) mais le parapente me prend plus de temps car j’ai plus d’adrénaline en parapente et plus de sentiment de liberté et d’accomplissement. Et puis les radars…ne sont pas mes amis ! alors de temps à autre je sors l’Haya mais sur circuit rapide ou sur les routes viroleuses des massifs alpins ou pyrénéens ;).
Bons vols plaisir à toi et ne t’en fais pas avec les vols, les copains, l’expérience, on progresse en parapente et on arrive à voler plus longtemps, sur des créneaux plus longs.
Moi aussi j’ai 3 passions; la 3ème est le voyage: cette année la Guadeloupe et Tahiti, l’année dernière c’était le Ladakh au nord de l’inde. L’année prochaine je ne sais pas encore, ça dépendra si je suis encore intact du parapente et si ma chef veut bien me lacher la grappe au boulot pour minimum 3 semaines. J’ai fais 3 fois le Népal à pied, pourquoi pas en parapente, intégré bien sûr…
Evidemment que tu seras intact du parapente ! il ne pourrait en être autrement ! :boude: il faut juste… faire attention ! oups :sors: Grâce au parapente, je voyage aussi beaucoup plus : Maroc l’an dernier, Ténérife cette année et plein de sites en France que je découvre avec délectation. Il n’y a que du côté de l’ouest que je ne suis pas encore allé voler !
Le Népal ça a l’air génial comme terre de parapente 
et ce qui est top c’est qu’en vol on decouvre des lieux d’une autre façon fort agreable 
Oui et c’est trop rigolo de reconnaître des lieux familiers vus d’en haut !
Eh ben c’est la belle vie Matthieu
profites en ! 
Oui Summer Carpe Diem ! on ne sait pas de quoi l’avenir sera fait alors…
Sinon, c’est étrange mais depuis que j’ai la Sigma, je suis plus raisonnable quant aux conditions météorologiques. Je vieillis ou c’est l’effet forum / maturation / prise de conscience ? Sincèrement, je me fais peur de me faire peur…mais comme je le disais dès le début (et personne ne me croyait), j’utilise mon 6° sens pour retarder l’échéance du décollage. Exemple, dimanche dans l’Yonne, les nuages sont très bas, des rideaux de pluie au fond, des nuages qui bas qui défilent assez vite, des arbres qui sont bien agités (vous savez ce fameux bruit du vent dans les feuilles), des conditions au décollage assez irrégulières entre soutenu et modéré. Bref, mon 6° sens me dit de ne pas me précipiter, je flâne donc, je perds mon temps, je scrute le ciel en permanence, un pote en Delta 2 (le même depuis un an) déjà en l’air me demande ce que je fiche. Il me dit que c’est calme en l’air. Je sors la voile mais la laise dans son sac saucisse, puis un grain arrive, je range la voile dans le sac, j’attends que le grain passe, en fait ce n’était que de fines gouttes… Bref, je finirai par décoller quand je l’ai senti. Tout s’est bien passé. Vol de 30 minutes dans du laminaire forcissant. J’ai posé le dernier en voyant les autres poser (mais en fait c’est parce qu’ils en avaient marre !), je suis rentré avec 1/3 barreau. En me posant nickel dans un mouchoir de poche (entre deux champs - “l’atterro officiel”), j’ai été content de mon vol mais j’ai volé moins que les autres et j’avais ce goût d’inachevé quand même et des questions (que je ne me posais pas avant). Les potes l’ont remarqué “avant avec la Hook, tu partais le premier et faisais le fusible sans réfléchir, que se passe-t-il ? là c’était assez tranquille”. Ca vous l’a fait cette “prise de conscience d’un possible danger (in)existant” ?
@ M@tthieu, salut !
Relis les post de juste avant Sigma 9. Nombreux était ceux qui te mettaient en garde contre l’effet rétrogradant que peut avoir le passage sur une voile plus exigeante… trop tôt.
Tu le vis peut-être maintenant, mais… pose toi la question (et tente de lui trouver TA réponse) qu’en sera-t-il lors des premières journées à thermiques teigneux du printemps.
Bonne réflexion,
Je les ai relus mais je me demandais si je n’étais pas juste victime des mises en garde psychologiques du forum… à force de crier au loup, on finit par le voir et y croire (ou le tigre d’ailleurs :lol:)
m@tthieu je remets une pièce dans la machine quitte à me repeter.
admettons que tu ais le niveau technique pour piloter ta sigma, ce qui est flagrant c’est que tu n as pas le mental. j’en veux pour preuve tes derniers récits : tu hésites à te mettre en l air là (ou quand) tu te mettais en l air sans souci avec ta voile précédente. c 'est à cette régression que je faisais allusion quelques pages en arrière. maintenant t as compris il semblerai.
les mises en garde du forum n’atteignent que les pilotes qui sont pas vraiment sûr de leur choix. la confiance en tes décisions ne viendra que lorsque tu auras un bagage théorique suffisant en mecavol, météo aerologie etc…
je ne juge pas je me contente d’un constat fait en suivant tes écrits. tu n as pas compris lorsqu on a tenté de te mettre en garde. ta pratique ressemble plus à une pratique loisir qu’a une pratique passionnée. la différence entre les deux ne se fait pas en nombre de vols/ heures de vol/ nombre de sites/ nombre de quoi-que-ce-soit. pour moi (je me trompe peut être) la différence se tient plus au niveau d investissement personnel, je m explique : un passionné dévorera tout ouvrage ou media ayant attrait au parapente (et un peu à tout ce qui vole et comment ça vole) là ou le pratiquant loisir se satisfera des discussions avec les parapotes aux déco/atterro/bar…
bien souvent le pratiquant loisir connait son niveau, sait que le parapente reste un loisir pour lui et sa pratique lui convient. il choisira donc du matériel adapté à son niveau technique et théorique.
je maintiens qu’à partir d’un certain niveau d’exigence de voile une pratique passionnée est indispensable.
Euh… ça me parait un peu leger et surtout facile.
Ben franchement … si y en a bien un ici qui a une pratique de mordu, c est bien Matthieu …
Je comprends pas comment on peut avoir un taf qui laisse autant de temps libre mais on voit bien qu il l exploite a fond pour le para.
j ai du mal m exprimer, ce que je veux dire c est que les kms parcouru pour aller voler, le temps investi pour voler ou à poster sur le forum n influent pas vraiment sur la connaissance théorique qui permet de faire ses choix seuls. aller se poser parce que les autres vont se poser alors qu il n y aucun signe de danger n est pas une preuve d autonomie dans ses décisions.
@ Tommyn,
Je pense comprendre tes dires mais je ne les rejoints pas. Je connais des pilotes loisirs qui ont d’autres ambitions que de prendre du plaisir a vivre le vol libre et qui pour cela essayent de progresser en se formant de façon continue. Et je connais aussi des passionnes qui ne vivent que pour aller voler au point de ne même plus pouvoir envisager sacrifier du temps pour se former plus avant.
Designer un pilote de passionné ou de loisir n’est qu’un exercice de sémantique. On devrait plutôt parler de pilote qui veulent ou non durer. La passion est souvent dévorante voire brulante et le risque est alors de bruler sa bougie perso par les deux bouts.
M@tthieu me semble etre un passionné mais qui ne veut pas se donner le temps de durer…
L’hiver porte conseil, on en reparlera au printemps.
Bonne journée,
Édit : @ Tommyn, ton 2em message me semble plus en phase avec ma vision.
Bonjour M@tthieu,
Il m’arrive de faire comme toi, cela s’appelle la sagesse. Je vie sur un site de vol, donc, si cela n’est pas bon, j’attends que cela s’améliore. Et puis, des fois je n’ai pas envie de voler (c’est rare), pas la forme…
Il est préférable de s’écouter que d’écouter les autres (bon ou moins bon) et de choisir seul (si possible) le moment de s’envoler.
J’ai fait de magnifique vol en décidant quand je voulais décoller alors, que mes amis on fait des ploufs, en fait c’est la sagesse de l’expérience qui te permet de savoir quand décoller pour un long vol. Si les conditions ne s’améliore pas, cela sera un beau plouf que tu aura décidé.
Étrangement, lors de la dernière compète, tout le monde attendait que le vent daigne venir, puis j’ai décoller le premier (du second groupe), tout le monde à suivie, les conditions commençaient à se dégrader, un plouf de 13 minutes avec un seul point et le plus proche du second avant d’atterrir tous ensemble ou presque. Je ne suis pas le meilleur, mais j’ai mes propres références qui m’aide dans des cas difficile avec l’accumulation des vols aussi bien long que court.
J’aime aussi l’analyse météo et cela m’aide pas mal dans notre activité de pleine air, même si j’ai encore des choses à apprendre, on apprend tout le temps.
En tout cas, continue et ne t’occupe pas trop des râleurs, profites du plaisir de voler et éclate toi avec de beau cross ou des ploufs 
Jean-Nono
Merci pour tes remarques sur lesquelles je vais essayer de rebondir car je crois qu’on avance comme ça !
Mon bagage théorique n’est pas suffisant, je le sais, mais dès que je peux, je lis (météo et mécavol plus d’autres bouquins) mais quand le temps est propice au vol, hé bien, je préfère voler. ALors oui, j’ai certainement une pratique loisir et pas professionnelle. Passionnée par contre comme l’ont souligné certains, pas sûr que que ne le sois pas.
Si j’ai choisi cette voile sage EN C (et je ne regrette pas ce choix), c’est pour profiter de l’hiver pour me perfectionner dans mes choix de créneaux de vols (c’était facile avant, je dépliais et hop je partais - si je vent et aérologie, nuages etc… étaient conformes à certaines valeurs quand même !) alors que là j’inspecte plus ce qu’il se passe et ce qui pourrait se passer. C’est ce qui m’interpelle. Avec cette voile je suis plus prudent. Je ne crois pas que ce soit la couleur ou son prix qui me disent qu’il faut que je sois plus attentionné mais c’est ce que je constate. Alors je me demandais s’il y avait un effet “mises en garde” qui m’avait rendu très (trop ?) prudent… ou alors je ne l’étais tellement pas avant que là en ayant une certaine réflexion, je me dis que la différence est si énorme…je dois être victime d’un syndrome. Je vais même à apprécier des vols contemplatifs où il ne se passe rien (Chamonix) et “obligé” de faire des espèces de wings à mon petit niveau tout en surveillant le bout d’aile extérieur, ou des sortes de 360 non face planète progressivement. Lors du SIV avec la Hook à la fin j’enfonçais carrément (un peu trop même) sans me poser de questions. Disons pour résumer que je prends conscience que je ne suis en l’air que par un bout de tissus et des ficelles…et que je ne peux pas faire n’importe quoi. :grat: