dans la mesure ou on exporte peu d’éléments d’une forêt, il n’y en a quasiment pas a emmener, sans compter que les animaux de la forêt s’en charge a merveille allant brouter les prés en lisière et revenant ensuite dans la forêt.
a contrario sur les champs cultivés ce sont de 2 a 20 T de matière organique qui sont exportés, dont certes la majorité est constitué d’eau et de carbone, mais pour un maïs a 10 T/ha c’est aussi 200 kg d’azote 60 kg de phosphore et 60 kg de potassium qui sont nécessaire sinon le sol fini par s’épuiser et il ne faut pas se leurrer a part pour l’azote qui peut en partie être reconstitué par des légumineuses pour les autres élément il n’y a aucune plante qui puisse les reconstituer.
en ce qui concerne la culture des céréales, il ne faut pas oublier que blé et maïs sont dans le top 5 des aliments les plus consommés leur besoin est réel, et en plus gage de paix mondiale, pour exemple il a suffit que l’ukraine annonce en 2008 qu’elle arrêtait ses exportations de blé pour alimenter son marché intérieur pour que la hausse des prix provoque les émeutes de la fin dans les arabes de la méditerranée, ce qui a causé la fin de plusieurs dictatures et également la création d’autres.
quant a produire des tomates et des poivrons en france les agri ne demandent que ça, a condition de pouvoir les vendre, mais les coût de production français ne permettent pas de rivaliser avec les espagnols et les hollandais transport inclus
ensuite une tomate espagnol arrive 2 mois plus tôt que la française donc quand la française arrive me marché a déjà été satisfait par les espagnols et la tomates française est moins colorée et moins sucrée car elle a eu moins de soleil elle est donc boudée par le consommateur
quant a vouloir remplacer tous les champs de maïs par des champs de tomates il faut savoir que toutes les parcelles ne sont pas aptes a faire pousser des tomates, que les besoins en eau engrais et phyto sont plus important pour les tomates que pour le maïs, que l’on ne peut mettre des tomates sur une même parcelle qu’une fois tous les 4 ans sinon on est confronté a des maladies quasi impossible a se débarrasser, que la surface actuelle de champs de tomates correspond au besoin du marché vouloir l’augmenter serais le plus sur moyen de faire s’effondrer les prix et la culture perdrait de l’argent, et enfin a quoi cela servirait d’avoir des milliards de tonnes de sauce tomate si on n’a plus de céréales pour faire des pâtes ou de la pâte a pizza.
en ce qui concerne les eaux usées de la ville “et pas que” il faut savoir que l’eau est le moyen de transport le plus économique, il est utilisé depuis l’antiquité
imagine l’énergie qu’il faudrait déployer pour effectuer le même transport qu’elle sans compter tous les stockages temporaires qui seraient nécessaires
l’eau est aussi un des éléments les plus simple a dépolluer, elle le fait même naturellement au cours de son cycle
le gros problème des boues d’épuration ne vient pas de l’utilisation de l’eau pour le transport des déchets car même si on utilise 15l pour une chasse ce sont 15 l qui retourne dans la nature que ce soit par ruissellement après filtration ou par évaporation, le gros problème vient d’un manque de savoir vivre de la population urbaine qui considère que une fois le déchet parti le problème est résolu et donc que l’on peut éliminer tous les problèmes par ce biais, reste de peinture, piles, médicaments, restes de la belle mêre, … et tout ceci se retrouve a la station d’épuration qui au départ n’est pas faite pour trier ces déchets particuliers c’est aussi ce qui fait que pour certaines boue qui ont un taux de métaux lourd trop important leur enfouissement est obligatoire tout c ça pour un citadin qui a préféré vider le reste de peinture d’ans l’évier plutôt que d’aller le déposer en décharge.



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