Ma fibre écologique s’est éveillée avec la campagne électorale du Pr René Dumont en 1974, que je ne pus pas assez bien suivre du fait que j’étais à l’armée.
Cela ne va rajeunir personne.
Volant tous les jours volables de mars à novembre à Planfait, je n’ai jamais tenté de mesurer le coût/carbone par heure de vol de ma pratique. Il est certainement inférieur à celui du pauvre citadin qui va faire des centaines de km pour aller voler ici ou là, en marquant parfois un but du fait de conditions défavorables.
A Planfait, nous covoiturons toute la saison, ce qui réduit les coûts et fait gagner du temps. En été, la commune de Talloires affrète un bus (pour les touristes en général) et nous en profitons, dans la mesure où les horaires sont compatibles avec notre activité.
Nous sommes assez nombreux, parmi les planfaitards, à souvent monter à pied décoller à Planfait ou au col des Frêtes, ou à Montmin depuis Doussard, ou à la Tournette depuis Montmin (ce qui impose alors une “manip de voitures” pas très écologique).
Je pense que question “empreinte-carbone” nous faisons tous de notre mieux, en toute conscience.


Bertrand) est une course violente du fait qu’elle se déroule sur une durée brève, ce qui impose aux concurrents d’être toujours à fond.