Avec ces contraintes, je choisirais une epsilon 7. Ce n’est pas la plus rapide à monter, mais elle est légère à l’effort, elle t’informe parfaitement durant tout le gonflage et une fois au dessus elle est remarquablement stable.
Recensement des ailes au gonflage le plus facile
Intéressant. J’étais resté avec Advance sur des voiles assez lourdes et pataudes.
…plus 1 avec Patrick , je pratique aussi le paramoteur , j’utilise depuis sept ans une Alpha4 28 …que du bonheur , avec ou sans vent …pour le libre une Epsilon7 26 …(plus légère que A.4) pour le gonflage cela va très bien aussi pas besoin de vent , avec un poil d’air elle monte sans toucher aux élévateurs… Cordialement . Pierrot capt . 
(Hors-sujet ; mode on)
Ma reflexion ne va pas t’aider dans la création de ta liste mais peut, peut-être, t’amener tout de même à élargir le champ de tes critères de choix.
Ta demarche intellectuelle me rappelle celles de certains mes amis parapentistes qui, il y a quelques années déjà, à l’occasion du choix de leurs deuxiemes ailes de leur toutes jeunes carrières d’hommes volants.
Ils avaient décidé de profiter de leur passage dans le bassin Annecyen (1er SIV) pour renouveler leur matos. A L’époque, se mettre en l’air (proprement) était encore un défi de tous les déco. Forcément, nos échec relevaient avant tout de la lourdeur et manque de facilité à gonfler de nos ailes de débutants et bien sur, en aucun cas ou alors très rarement de quelques lacunes dans notre gestuelle et capacité à bien choisir le moment et ou l’endroit (Tiens donc…)
Alors ils ont essayé plusieurs modèles d’ailes, ont eu des coups de coeur pour certains comportements en vol mais pour deux au moins d’entre eux ont fait leur choix final en fonction uniquement de leur facilite de gonfler et decoller avec…
Arriva ce qui devait arriver, ils gonflaient et decollaient bien mieux mais… ne se dont jamais fait aux comportements en vol de leurs nouveaux jouets, comportements en vol qui etaient juste en phase avec leurs comportements au sol.
(Mode hors-sujet ; off)
Travailler sa technique (gonflage, etc.) est sans doute plus efficace que penser trouver l’aile-miracle qui… n’existe pas.
regarde du cote d’ITV, ils ont une belle experience des voiles parapente et paramoteur, et je connais pas mal de monde qui utilise leurs voiles pour les deux pratiques - tu as la dolpo par exemple, ou un peu plus vieux la Lapoon qui etait pas mal utilisee pour cette pratique mixte
ensuite, je rejoins tout ce qui s’est dit au dessus, la gestuelle est sans doute a prendre en consideration.
Pour avoir fait un peu de moteur, et pas mal de treuil egalement, si tu as le bon geste, pas besoin d’avoir le top du top du gonflage pour que ca monte, meme par vent nul
Ce genre de question c’est l’assurance que chacun te dise que sa voile gonfle bien, tu ne vas pas apprendre grand chose. Pour avoir fait du paramoteur, je trouve que le critère le plus important d’une voile au gonflage (en paramot) c’est d’avoir un tissu bien enduit qui ne s’imbibe pas à la moindre goutte de rosée. Donc acheter neuf ou au plus proche du neuf et un tissu qui ne soit pas enduit en simple couche avec l’enduction côté interne de l’aile, comme c’est souvent le cas.
Un peu bizarre : tu fais du hors sujet, tu clôtures le hors sujet et tu continues à faire du hors sujet. Bref…
C’est presque drôle cette obstination, cette tendance qu’il y a à vouloir refaire le fil dans un autre sens en voulant le tordre selon ses propres visions.
Quoiqu’il en soit, je m’attendais à ce genre de réaction et ça n’a pas tardé. La relation est tellement facile: recensement des voiles au gonflage le plus facile = gros newb qui ne sait pas manier une voile.
Donc je le rappelle peut-être pour la 3ème fois: il n’est pas question ici de technique (ni de compétence ni de méthode) de gonflage.
C’est un peu le risque, mais pas toujours. Donc ça a le mérite d’être posé.
Oui la rosée peut être problématique, tout comme la nature du terrain qui peut être mou et constellé de taupinières, tout comme l’absence de vent, et quand ça s’additionne tu es content d’avoir une voile qui monte avec facilité.
Ma FS2 est pas trop lourde et monte assez bien. Mais il y a encore mieux. Si je prends une Bright par exemple, ça monte encore plus facilement. Par contre elle est un peu trop camion en l’air. Normal, c’est son programme. Donc, je poursuis mes petites recherches pour trouver une “frangine” à ma voile actuelle au moteur quand c’est la pétole.
La remarque de Benoit2r au-dessus est particulièrement judicieuse, d’autant plus qu’on veut s’orienter vers du matériel d’occasion et/ou léger.
La différence entre une aile bien enduite et une aile à l’enduction usée est flagrante. Je suis surpris qu’aucun enseignant du forum ne l’ait relevé, on le constate parfaitement dans les séances de pente-école matinales avec des élèves : les ailes à l’enduction fatiguée s’imprègnent de flotte, le tissu est lourd et mou comme une serpillère, ça n’écope plus et ça ne monte plus. Avantage aux ailes à joncs en cas de fatigue de l’enduction…
Or en achat occasion, toutes les enductions ne se valent pas. Il y a eu chez Porcher différentes enductions, dont certaines craignaient plus l’humidité que les autres. Je ne me souviens plus des références, ça vaut le coup d’essayer de se renseigner.
On ne voit pas la différence en milieu sec, mais dans l’humide… !
Et les tissus légers eux perdent plus vite leur enduction car la trame de fils qui lui sert de support est moins dense. Donc l’usure est plus rapide et ils s’imprègnent plus de rosée ; si en plus la voile est peu structurée et a peu de renforts, on a parfois une certaine désillusion sur la facilité de gonflage des ailes légères.
Ha, ben dans ce cas, la M6 c’est une bombe au gonflage, ça fait de nombreuses années que je vole sous des voiles type D ou compète et la dernière fois que j’ai rencontré des potes qui faisaient pente ecole avec des B, je m’en suis fait prêter une, rhooo le gros camion. C’est lourd, lent, ça tire et faut avoir des bras super longs, que tu prends un cheval de course, tu lui titilles les avants et hop le vla prêt à bondir (bon faut être un peu vigilant sur le lacet, mais comme tu indique qu’il n’est pas qestion de technique ni compétences)…
A quand la technologie Gore-Tex ou Téfal appliquée sur nos voiles ? 
J’ai une Sol pas toute jeune dont le tissu semble bien conservé et qui a un aspect bien enduit. Mais elle est lourde et son calage qui a bougé l’a rendu encore plus cabreuse, autant dire que son décollage sans vent avec un moteur dans le dos relève de la foi divine.
En tout cas, ce retour sur les enductions est intéressant. Mais apparemment, il faut choisir entre la légèreté ou l’enduction. Ça serait utile de connaître les tissus qui offrent un bon compromis. Quant aux voiles typées très légères, effectivement l’association trame fine et peu de renfort renvoient un peu à la case départ.
Une voile de 6.9 d’allongement qui gonfle facile sans vent, que de progrès parcourus…
Absolument, faut pas croire, ça écope et ca monte du feu (certaines cherchent à doubler même sur du plat) par contre faut pas de faute de parallaxe.
La M3 montait aussi très très bien sans vent!
Et la Sigma4 gonflait très bien aussi sans vent, un peu plus délicate quand ça ronflait.
Il n’y avait aucune idée de vouloir refaire le fil dans un autre sens et je ne pense pas avoir, d’une facon ou d’une autre, insinué que tu serais un “gros newb” qui ne saurait pas manier une voile. Si tu vois les choses ainsi c’est que tu fait preuve de susceptibilité (exagérée) et d’étroitesse d’esprit. Car partager ses expériences et souvenirs (ma partie annoncée hors-sujet de mon post) et en tirer une réflexion (ma partie annoncée dans le sujet de mon post et que je maintien comme tel) ne se voulaient rien d’autre que des invitations à une réflexion plus large sur un sujet quu est partie integrante de ta question initiale, soit ; quel est l’intérêt réel d’une aile qui gonfle extremement facilement et question liée impossible à negliger, quels peuvent être les inconvénients dune telle aile ?
Mais tu me semble peu ouvert au jeu de la “discussion” Pourtant on parle bien de “fils de discusions” sur un forum. Alors je te laisse à ta liste en te souhaitant bonne chance d’y trouver des réponses satisfaisantes (même si j’en doute)
Question subsidiaire de ma part, pour essayer tout de même de comprendre ta démarche. Pourquoi le gonflage au moteur ne te convient pas ?
je profite du fil, histoire de jauger ma nullitude…
une A sur terrain plat sans vent du tout avec un débutant; c’est sensé gonfler facilement ?
c’est pour un ami :mrgreen:
Il n’y avait aucune idée de vouloir refaire le fil dans un autre sens et je ne pense pas avoir, d’une facon ou d’une autre, insinué que tu serais un “gros newb” qui ne saurait pas manier une voile. Si tu vois les choses ainsi c’est que tu fait preuve de susceptibilité (exagérée) et d’étroitesse d’esprit. Car partager ses expériences et souvenirs (ma partie annoncée hors-sujet de mon post) et en tirer une réflexion (ma partie annoncée dans le sujet de mon post et que je maintien comme tel) ne se voulaient rien d’autre que des invitations à une réflexion plus large sur un sujet quu est partie integrante de ta question initiale, soit ; quel est l’intérêt réel d’une aile qui gonfle extremement facilement et question liée impossible à negliger, quels peuvent être les inconvénients dune telle aile ?
Je passe sur ce paragraphe hautement fumeux…
Mais tu me semble peu ouvert au jeu de la “discussion” Pourtant on parle bien de “fils de discusions” sur un forum. Alors je te laisse à ta liste en te souhaitant bonne chance d’y trouver des réponses satisfaisantes (même si j’en doute)
Voui, mais la discussion a ses limites quand les réponses n’ont pas de rapport avec ce qui est demandé.
Question subsidiaire de ma part, pour essayer tout de même de comprendre ta démarche. Pourquoi le gonflage au moteur ne te convient pas ?
Le gonflage au moteur est un très bon moyen pour gonfler une voile par vent nul. Mais il faut une cage rigide. Lorsque tu as une cage souple ce qui est mon cas, lors de l’élévation de la voile, la contrainte créée par la mise en tension des suspentes peut déformer la cage jusqu’à toucher l’hélice, qui lorsque c’est le cas taille en miette tout ce qu’elle touche.
Sinon, moi aussi j’ai une question, qu’est-ce qui te pousse à intervenir Ptochek Superman ? Je dis ça car je constate que tu débarques de nulle part, tu t’es inscris hier sur le forum et en 3 posts tu “règles” déjà les problèmes des uns et des autres du haut de ta grande expérience de volant accompli…
une A sur terrain plat sans vent du tout avec un débutant; c’est sensé gonfler facilement ?
Ça dépend.
Ah…
Bon, c’est déjà moins pire comme réponse que “ben oui, y’a rien de plus facile, s’pice de naze !” :mrgreen:
Benf, il y a énormément de paramètres…
Certaines sont même “ingonflables” dans cette configuration.
Si tu veux une caricature pour comprendre, les voiles à très forte surface (faible charge alaire), conçues pour offrir un amortissement maximum en turbulence, lourdes, paresseuses, molles, calées plutôt lentes, (tout ceci étant généralement facteur de confort en vol), vont être trainées au sol jusqu’à épuisement du pilote sans jamais monter…
A l’inverse, prends une petite surface bien structurée et qui affiche une volonté de performance, construite ultra-légère, tu tires dessus n’importe comment et elle est au-dessus de ta tête sans même que tu t’en sois rendu compte.
Entre ces deux extrêmes, il y a de la marge pour faire une “A”, et donc toute une gamme de comportements possibles au gonflage sans vent sur le plat.