référentiels et énergie cinétique (était : Statistiques sur l'usage du secours)

bonsoir

je pense que ce qui “t’enduis” d’erreur c’est le fait de courir sur le tapis. difficile de s’arrêter de jouer des jambes !

imagine être avec des rollers sur le tapis, pieds joints, tu tiens une ficelle attachée au pupitre, qui t’évite de reculer quand le tapis accélère.

quand la vitesse du tapis est stable par exemple 20 km/h, tu es immobile par rapport à la pièce, seules les roues des rollers tournent.

si le tapis s’arrête brusquement, les roues de tes rollers aussi, et il n’y a aucune force qui apparaîtrait tout d’un coup pour faire passer ton corps de 70 kilos,
de l’arrêt à 20 km/h vers l’avant. et t’envoyer dans le mur comme tu le dis.

:coucou:
bruno

Tu “es” à 20km/h, cela ne veut rien dire (retour à la case référentiel).
Tu as les jambes qui moulinent, mais ton corps ne se déplace pas par rapport à la salle.
C’est quand même assez simple à comprendre.
Donc quand tu sautes et que tu arrives au sol, il faut arrêter de mouliner avec les jambes. C’est tout !

Au risque de me répéter, lisez ceci https://cafearjun.com/2015/10/28/what-happens-if-a-treadmill-stops-suddenly-power-outage-or-broken/, cela devrait clore le débat si vous le lisez bien.

En attendant, voilà 2 nouveaux points Gradient distribués avec brio à choucas et upwego… Je retourne sur mon fauteuil d’observateur (il rest du popcorn ?). Changez rien, ça fait du spectacle.

Merci plumocum, tu m’as bien fait rigoler en t’auto-attribuant le premier point… :trinq:

Ah yes… EXCELLENT !
Mais Plumocum a initié. Il en mérite un aussi.

A+
L

Je ne suis pas allé voir derrière moi pour savoir si le vent avait soufflé à l’envers.
Ce qui est sûr, c’est que dans un air turbulent, même si le sens du vent est bien établi d’une direction générale dominante, car c’était du vent météo,
le fait qu’il soit turbulent fait qu’il change de vitesse +=+=-=-=+= et ainsi de suite.
Je pense pas qu’il y ait un nain derrière qui s’amuse à souffler dans l’autre sens dans ton dos.

L’inertie et l’immobilité de l’aile n’a rien à voir avec ça

Là ou le point d’être immobile dans du 28 est important, c’est que tu es fragile si le vent baisse (on parle de vent météo turbulent en plaine)
Alors que tu te mets immobile dans du 35, alors tu n’es pas à ta Vz mini, donc plus loin du déccrochage.

Peut -être qu’en relisant le post d’origine avec cet éclairage tu comprendas mieux.

:bu:

Ce qui me rassure, c’est que les seuls qui répondent à côté sont ceux qui n’ont pas compris.

Fl 35,
Tu vol à un autre niveau !
Super l’idée des rollers. karma+

Upwego, un peu de concret dans ces jours de théories.
Garde une réserve de vitesse quand c’est turbulent.

Le taux de chute mini à 20 où 30 cm de freins selon les manuels d’utilisations d’ailes, en vrai, c’est de la merde.
Quand tu vas lentement, tu chopes un thermique et la mise en virage est lente. La mauvaise réactivité de l’aile te fait manquer des trucs.

Quand tu vol lentement, tu entre dans une dégeulante. Tu es lent dans la dégeulante et tu lèves les bras pour prendre de la vitesse pour sortir de la ce qui fait que l’aile fait une abatée et descend encore plus vite dans une dégeulante.

Quand tu vol lentement et que tu te prends pleins de rafales de cul non reconnue par Gilles Silberzahn, tu peux décrocher si le différentiel min Max est suffisamment important.

Quand tu vol lentement, tout le monde te dépassent et tu arrives en retard à l’atterro et tu manques la navette.

:pouce:

Tout à fait d’accord.
Fais toi bien plaisir à l’avenir.

:coucou:

[quote] Si tu sautes à côté du tapis sur le sol immobile, ton cerveau n’a même pas besoin de millisecondes pour savoir que le sol est immobile et je continue à ne pas croire un instant que le corps s’arrête instantanément pour autant. hein ?
[/quote]
Comme celà a déjà été évoqué, le tapis s’arrête progressivement avec le bouton d’arrêt d’urgence pour laisser le temps au coureur d’arretter son mouvement de jambes. Ce n’est pas l’inertie du corps qui l’envoie contre le mur (ou le pupitre) mais le fait que ses jambes continuent le mouvement pendant 1 ou 2 secondes.

[quote] Si tu sautes à côté du tapis sur le sol immobile, ton cerveau n’a même pas besoin de millisecondes pour savoir que le sol est immobile et je continue à ne pas croire un instant que le corps s’arrête instantanément pour autant. hein ?
[/quote]
Exercice déjà testé et approuvé lors de circuit cardio training. Tu cours quasi en sprint et d’un coup tu saute en écartant les jambes de chaque côté du tapis. Tu as besoin de te tenir aux barrières non pas à cause de l’énergie à dissiper mais juste pour retrouver ton équilibre (position de course penché vers l’avant) mais à part ça tu t’arrête d’un coup sans effort. De la même manière tu peux te remettre sur le tapis déjà en course à 20km/h, la difficulté étant d’avoir des jambes capables de reprendre la foulée instantanément, mais ton corps lui ne bougera pas. :speedy:

J’essaierai de prendre le temps de faire une vidéo à l’occaz pour prouver mon affirmation. Si je me casse la gueule je la posterai quand même en faisant mon mea culpa. :banane: Et ca fera une séquence vidéo gag.

Voilà, c’était ma participation à ce fil, étant plus sportif que théoricien. :trinq:

Le tapis n’est pas un bon exemple car c’est complexe.
L’article de marcus assimile la course sur le tapis comme si on sautillait, mais si on prend une balle de tennis ça ne marche pas, au bout de quelques rebonds elle se retrouve derriere le tapis.
Pour que la balle rebondisse au même endroit il lui faut une vitesse horizontale qui compense les quelques centimetres ou elle recule au moment de l’impact.
Après la balle ce n’est pas un bon exemple car elle tourne et ça complique encore un peu.
De plus les tapis sont toujours inclinés même quand ça indique 0.
Il faudrait demander aux marcheurs à pied qui ne quittent jamais le sol s’il peuvent aussi facilement s’arrêter sur un tapis.

Quoi qu’il en soit l’énergie cinétique d’un marcheur de 80kg qui avance à 3.6km/h dans le repère lié au tapis est de 40J (quelque soit la vitesse du tapis), ou alors on m’aurait menti.

En tout cas un bon sujet pour vivi pour coincer les parents :wink:

C’est pas faux. Plutôt que d’se faire chier avec des théories à la con super compliquées. C’est le truc chiant du parapente, si on s’faisait plutôt une chtite partie de sirop ? ça détend et c’est bien plus simple.
Voilà les règles :
C’est facile à apprendre :

Enfin, avec mes règles simplifiées parce que les règles originales, elles sont velues.
Bon, le seul truc, c’est que normalement, ça se joue à trois…
M’enfin, c’est bon, on va se démerder.
Le principe, c’est de faire des valeurs.
Donc là, mettons, on est trois, il y a trois valeurs à distribuer.
C’est hyper facile.
On va dire, sirop de huit, sirop de quatorze et sirop de vingt-et-un.
vous occupez pas des sirops tout de suite.
Ce qu’il faut comprendre d’abord, c’est les valeurs.
Si vous lancez une valeur en début de tour, mettons un sirop de huit, pour commencer petit, les autres ont le choix entre laisser filer la mise ou relancer un sirop de quatorze.
On tourne dans le sens des valeurs. C’est pour ça, il faut bien comprendre le système des valeurs ; après, ça va tout seul.
Bon alors mettons que j’ouvre avec un sirop de huit.
Si c’est vous qu’avez siroté au tour d’avant, ça tourne dans votre sens.
Alors soit vous laisser filer, vous dites “file-sirop”,
soit vous vous sentez de relancer et vous annoncez un sirop de quatorze.
Après c’est a vous, comme on a commencé les annonces, vous avez pas le droit de laisser filer.
Vous pouvez soit relancer un sirop de vingt-et-un,
soit vous abandonnez le tour et vous dites “couche-sirop”.
Ou “sirop Jeannot”, ça dépend des régions.
Et après, soit on fait la partie soit je fais un “contre-sirop”, boum !
Et à partir de là, “sirop de pomme” sur vingt-et-un donc on fait la partie en quatre tours jusqu’à qu’il y en ait un qui sirote.
Bon ça peu paraitre un peu compliqué.
C’est pour ça, moi, j’ai fait des règles simplifiées.
À la gagne, il y a que trois possibilités :
Soit vous faites votre sirop de huit, vous dites “beau sirop” et on recompte, soit vous faites votre sirop de quatorze, vous dites “beau sirop, sirop gagnant” et on vous rajoute la moitié, soit vous faites votre sirop de vingt-et-un et vous dites "beau sirop, mi-sirop, siroté, gagne-sirop, sirop-grelot, passe-montagne, sirop au bon goût.
Sinon, moi, j’aime bien les règles originales mais c’est trop compliqué. Les gens, ils ont envie de faire une petite partie pour se détendre ; s’il faut passer trois heures à apprendre les règles…

règles complètes http://francois-combe.pagesperso-orange.fr/00-AutourduJeu/Kamelott.html

J’hésite entre laisser filer ou relancer un sirop de quatorze :grat: , je te redis.

moi je dis que le vrai probleme de l’histoire c’est la différence entre la théorie et la pratique !!!

Ah ça c’est sûr!
Ca me rappelle une blague sur la différence entre la théorie et la pratique:

un petit palestinien rentre chez lui après l’école et demande à son père la différence entre la théorie et la pratique, celui ci lui répond: va chercher ta mère et ta sœur à la cuisine, elles arrivent et il leur pose la question suivante: pour 2 millions de dollars vous coucheriez avec un Israélien? Les 2 nanas réfléchissent et répondent oui.
Il les renvoie bosser à la cuisine et dit : tu vois mon fils en théorie on a gagné 4 millions de dollars, en pratique on a 2 salopes à la maison!
:speedy:

Vous voulez pas faire un chante-sloubi plutôt? :dent:

Manque un smiley, là… :frowning:

Je viens de relire les 13 pages…et je crois que je vais arrêter le parapente car je vais me poser trop de questions au prochain vol !
Dans quel référentiel je suis ?
Vais-je me prendre les pieds dans le tapis ?
Est ce que je vais me faire surprendre par une rafale de vent de cul scélérate ?
Ne suis-je pas suivi par une mouche ?
Mon train sera-t-il à heure ?
Et si je décollais en Roller ?
Faut-il mieux tourner dans le sens de la rotation de la terre uniquement aux pôles ?

Etc. etc.

Et surtout, surtout !
Y aura t’il assez de pop corn ???
:jump: