J’en étais sûr! Pour répondre à la question, je dirais qu’un bon pilote est un pilote qui a déja pratiqué le saut quantique à Bugarach.
Tranquille oui, tellement bien et dépaysant que j’en oublie (presque) le parapente 
Samy
un bon pilote ...
Un bon pilote ? Peut-être celui qui ne s’imagine pas l’être ? :ppte:
j’adore 
Et alors lorsque le petit pilote colportera les fameuses phrases bateaux, il sera à son tour devenu un bon pilote.
Je décèle un paradoxe dans cette phrase du type paradoxe du menteur… https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Paradoxe_du_menteur
Si tu ne penses pas être un bon pilote, en disant cela (et si tu penses que c’est vrai) c’est que tu penses en fait que tu es un bon pilote donc contradiction.
Si tu penses que tu es un bon pilote, alors en disant cela c’est que tu penses en réalité que tu n’en es pas un, re-contradiction.
Voila, ma remarque ne sert à rien mais je tenais à la faire.
Tout dépend du point de vue :roll:
Pour un fabricant de parapente
un bon pilote est celui qui change d’aile tous les ans
pour une femme de pilote
un bon pilote est celui qui préserve sa vie de famille
etc …
donc un pilote qui a cessé de voler… (avant le crash :vrac: )
pas forcément … si il s’est pété les deux chevilles, il va rester à la maison plus souvent :mrgreen:
Bonjour,
Samepate a raison : “ce n’est pas parce qu’on a rien à dire qu’il faut fermer sa g…”
Bons vols.
Merak.
Salut les parapotes,
un bon pilote est un pilote humble et modeste,
car il a vécu beaucoup de situations différentes, et il n’a pas tout compris !!!
Il a donc bien des raisons de ne pas expliquer aux autres ce qu’il ne maîtrise pas lui-même.
Mais puisqu’il est optimiste, et qu’il aime voler plus que tout au monde, il y retourne.
Rapprochez-vous des pilotes discrets au déco si vous voulez des informations sérieuses.
Et en 2017 travaillez moins pour voler plus ;-))
hervé
Un bon pilote est un pilote dont la perception de son niveau est inférieure à son niveau réel.
Je m’explique :
-
Quand on débute, on pense ne rien connaître / rien savoir faire, alors qu’on connaît un peu et on sait faire un peu.
La perception de son niveau est inférieure au niveau réel, et on est en sécurité. -
Quand on se met à voler régulièrement, sortir doucement du bocal, on a l’impression de maîtriser et de savoir ce que l’on fait, alors que généralement on fait plus que notre niveau
[i]On se croit champion du monde alors qu’on a clairement pas ou peu d’expérience, on se met en danger ! en plus, on croit tellement tout savoir que l’on écoute bien sur pas les copains qui te disent que t’es en train d’en faire trop …
Cette phase de “champion du monde” arrive à tout le monde, plus ou moins fort et plus ou moins tard. Dans le parachutisme c’est marrant, c’est presque toujours aux alentours des 100 sauts que les jeunes se sentent pousser des ailes et se croient bien meilleurs qu’ils ne le sont réellement … Et je parle en connaissance de cause, j’ai fini mon 92eme saut emmené dans un coquille pas les pompiers :oops: en parapente je ne sais pas trop quand cela se produit, mais tout le monde a l’air d’y passer aussi … -
En vieillissant dans l’activité les choses se remettent à leur place. Ceux qui ont rebondi ont appris qu’il ne faut pas se surestimer. La perception de son niveau par rapport au niveau réel est ensuite différente selon les personnes. Mais ceux qui pètent toujours plus haut que leur cul se mettent clairement en danger …
En relisant tout ça, C. Maurer est vraiment un pilote de merde !!!
Non… c’est l’une des exeptions qui confirme la règle. :rando:
j’ai aussi dis ça deux lignes plus haut 
[quote]Je sais qu’un jour je serai peut-être là ou je n’aurai pas du être. Je l’accepte, mais j’utilise au mieux mon expérience pour l’éviter.
[/quote]
J’en arrive à penser comme M@tthieu :bang:
… ou c’est lui qui évolue :grat:
ah ouais mais si y a pas “un bon pilote …” ca marche pas !! 