Le cobra oui mais pas ou je vole ,trop caillouteux j’y laisserai vite mon extrados, j’en suis a ma 3eme voile light et c’est bien la 1ere fois que je me fais catapulter comme ça et ma voile était en boule,c’est vrai je ne tenais pas les arrières,juste A+b ce qui temporise très bien la montée,on faisait déja ça il y a 15/20 ans quand les voiles avaient toutes 4 élévateurs,maintenant avec les voiles a 3 élévateurs ça marche pas avec toutes,la prochaine situation idem j’aurai les arrières en mains pour affaler vite en cas de problème.
AH ouais ,chapeau le retournement pour neutraliser la voile, mais là c’est le pape et il est jeune,je joue pas dans la même catégorie !! je suis admiratif !!
des idées reçues. mes voiles light (mentor 4 light et bgd dual lite) tiennent aussi bien que les voiles non light que j’ai eues avant.
la plupart de mes décos ne sont pas abrasifs, en général herbe voir tapis les grands jours
on couple sa voile light à une sellette light ou pas trop lourde, un secours light et ce n’est pas 1kg (1,7 de moins rien que pour la voile) mais 4 à 8 qui sont gagnés sur le pack entier (solo car bi ça doit être encore +), du coup attention au ptv.
j’ai 2 hernies discales et mon dos me remercie quand je porte le matos, par contre en vol, c’est moins confort niveau sellette au bout de 2h, on ne peut pas tout avoir…
Il y a un élément important qui ne me semble pas vraiment abordé dans ce topique : l’énergie cinétique de la voile et l’avantage de l’allègement.
Plus une structure est légère, moins elle encaissera d’énergie à redonner. Ce qui donne des comportements moins amplifiés autant dans le roulis que dans le tangage. Du coup un confort et une sécurité accrue.
Donc on retrouve deux philosophies dans le light :
-les ailes type GIN GTO 2 (4.3kg en taille M) d’origine en tissus light, ce qui permet de donner un profil qui serait plus amplifié si plus lourd. Du coup on cherche une logique de performance / Sécurité par l’allègement de la structure.
-Les versions allégées en homothéties d’une aile conçue en tissus classique (le plus couramment constaté). Ici l’idée est de définir une large gamme de produits pour les clients différents, chacun avec son cahier des charges.
j’ai la même voile en version normale et light. pour moi elles se comportent pareil, juste au gonflage la light est plus facile car on la soulève sans aucun effort et du coup elle risque moins de dépasser… sinon RAS, j’ai même fait un SIV avec chacune je les trouve identiques
C’est selon.
Il y a en effet des ailes ou des tailles qui sortent directement et uniquement en version très légères et qui ne resteraient probablement pas dans la même catégorie d’homologation en version “lourde”.
Mais j’ai eu l’occasion d’essayer plusieurs modèles dans leur version classique puis leur version allégée et je trouve que le tableau n’est pas si simple que la citation ci-dessus.
Déjà il faut distinguer entre les modèles où l’allègement est obtenu par seule modification des tissus et ceux pour lesquels le suspentage change aussi. Dans ce dernier cas, des différences en performances et en ressentis/comportements peuvent être manifestes.
Lorsqu’on change uniquement le poids des tissus, suivant les modèles on ne note parfois aucune différence sensible (hormis en effet au gonflage). Et souvent on trouve beaucoup plus de petits mouvements vifs, secs, de faible amplitude et des “gigotements” plus marqués, toutes choses que la version “lourde” tend à lisser.
Personnellement, pour le confort mais aussi je pense pour la performance (tant que le suspentage est inchangé), j’ai toujours préféré les versions “lourdes”.
Bon ok le light c’est plus facile,ça gonfles mieux,c’est plus amortis,ça décolle vent de cul,c’est moins lourd, mais dans du + de 25 au déco c’est quand même plus délicat qu’une aile normale d’après moi,ou alors je m’y prend comme un gland pourtant a un récent stage de remise a niveau j’étais pas le plus glandu. qui a la bonne recette ???
Je vole toujours avec du matériel ultraléger (Ultralite1 d’Ozone).
Lorsque le vent est supérieur à 25 km/h au décollage, j’utilise une technique simple, que je maîtrise parfaitement : ma voile reste dans le sac ! :lol:
Je n’ai en effet jamais décollé avec un vent de plus de 25 km/h (je ne sais pas faire).
Par contre je regarde avec intérêt les pilotes qui maîtrisent en sécurité une telle situation !
En fait cela m’est quand même arrivé une fois de le faire.
C’était cette année au mois de mars lors de mon stage au Maroc avec J.C. L. (qui suit ce forum).
Nous étions sur le site d’Aglou au sud d’Agadir face à l’océan (l’endroit est magnifique).
Les copains en l’air ne se faisaient pas secouer et ils tricotaient des allers-retours au-dessus des falaises face au soleil qui déclinait.
Mais le vent était bien établi au décollage (au moins 25 km/h, peut-être plus ?).
J’avais envie de me retrouver en l’air avec les autres, mais je ne me sentais pas d’assurer un décollage en sécurité avec cette force de vent.
J.C. m’a assisté et m’a permis de me mettre en l’air !
Un très grand merci à lui car le vol a été superbe.
Mais tout seul je ne sais pas décoller dans ces conditions-là (matériel léger ou pas).
A cause de ça j’ai dû rater quelques vols, mais en fait pas beaucoup (dont un du sommet du Mont-Blanc avec un vent de l’ordre de 30 à 35 km/h, mais à cette altitude cela peut décoller, si on sait faire… !).
Voile light ou “lourde”, pas question décoller avec + de 25kmh. Le vol sera pas intéressant de toute façons si c’est pour rester scotché au même endroit tout le temps. Probablement au sol le vent sera bien pour faire du gonflage.
T’inquiète pas Marc, moi c’est à partir de 20 km/h que je ne décolle plus; j’ai les genoux d’un vieillard avec presque plus de cartilage et encore moins d’agilité…
M’enfin faut relativiser, il y a plus malheureux.
Mais quand on a gouté au light, genre Ultalite 4, on apprécie. L’année prochaine je change mon Alpha 6 et je pense prendre soit la Masala 3 ou la MCC Arolla 2.
Dans mes critères de sélection, outre que je veux qu’elle soit en A, il faut qu’elle n’arrache pas quand il y a de la brise.
Lors de mon petit sketch au déco j’avais la Masala 3 S donc 25m avant j’avais la Masala2 XS 22m et j’ai plusieurs fois décollé dans les même condition sans problème ,alors 3m de plus de surface feraient la différence ?? j’ai employé la même technique et sur un site que je connais très bien. Je me pose la question ai-je bien fait de prendre une S ,je suis pile milieu de fourchette avec la XS c’était dans la fourchette élargie mais dans du petit j’étais plus vite en bas,mais a ce moment là j’avais 2 voiles maintenant une seule !
Il faut aussi se rendre compte que la masse d’une aile gonflée, c’est la masse de l’aile elle même mais aussi l’air contenu dedans. Du coup, le kg de différence ne représente plus grand chose sur le total, pas étonnant donc de ne pas avoir de différence sensible en comportement (sauf au gonflage, puisqu’à ce moment l’aile n’est pas remplie).
Mon PTV avec sellette string et matos léger 82/83 kg,avec sellette normale et matos plus lourd 87/88 , Masala3 S fourchette 70-95 je suis pas mal,avec la XS fourchette 55-77 c’est bon quand c’est bien alimenté,quand c’est petit pas facile de tenir voila pourquoi j’ai pris une S en voile unique depuis que j’ai vendu ma Base. 2 voiles c’était l’idéal mais je ne vole plus assez pour ça.Donc a moi de m’adapter pour les décos avec vent fort avec cette S ,problème que je n’avais pas avec la XS et la Base. Toutes les méthodes sont bonnes ,suffit de trouver celle qui va bien et d’être a l’aise avec.