Y etant passé samedi aprem, au vu des conditions meteo (leger vent d’est) et du gros thermique en face est, tu etait surement en face sud sous le vent ( ou dans la deguelante ) de ce gros gros thermique.
Il n’y a que moi qui serait choqué par le récit et les questions induites ? :grat:
Voler en plein après midi d’une grosse journée printanière sur la dent de Crolles et s’étonner de se retrouver dans la turbulence. Cela me semble hallucinant de naïveté !
Bien sur que cela était prévisible, bien sur que tu n’avais rien à faire à cet endroit avec le niveau technique et la fatigue du moment, il n’y a pas de hasard. Voler en thermique entre 14 et 16 heures sur une des journées les plus fortes de ces dernières années n’est pas anodin. Quand on fait le retour de saint Eynard en ligne droite avec des conditions généreuses sur les falaises inférieures, il faut se douter que les grandes falaises seront TRES généreuses et que le risque de fortes turbulences sera présent.
Selon moi vu l’endroit et l’heure il était évident que les conditions seraient fortes, tu aurais du le savoir !
Il faut être humble dans sa progression et ne pas s’enflammer à chaque réussite. 3 ans de progression et 250 vols ne font pas de toi un pilote très expérimenté et il est normal de continuer à apprendre, il faut juste ne pas griller les étapes.
ps : Je trouve que les divagations sur le matériel sont inutiles quand c’est clairement l’analyse du pilote qui est en cause.
je faisais la sieste c’est vrai… sans rire, je cheminais paisiblement avec feins au contact et bim c’est parti. mauvais placement: sous les thermiques de l’avant plateau et les débuts de thermiques du deuxième relief. pas ma faute, je suivais des boom11, c’est de leur faute en fait si j’en ai pris une :dodo:
Tout à fait d’accord avec cette remarque. Et pour rebondir sur le message précédent : comment on sait que c’est “surfumant” (qu’est-ce que ça veut dire d’ailleurs) et comment on le sait avant d’y être ?
Et ne répondez pas : “plafond très haut”, parce que c’est faux (j’ai connu un plaf à plus de 4000 à val louron, avec une aérologie d’une tranquillité absolue). J’ai même entendu l’inverse : que les plaf bas pouvait provoquer des turbulences fortes.
Et ne répondez pas non plus : vol du soir (c’est quand le soir, au fait ?) : j’ai déjà vu des conditions proches du sol, avec des inversions de brises (ou des rentrées de vent) qui provoquaient une aérologie bien pourries, et j’ai eu très peur pour les 2 débutants qui ont décollé après avoir attendus bien sagement qu’il ne reste plus que quelques bouffes de face pour décoller.
Pour ne pas partir dans des généralités, restons sur ce récit : il mentionne bien que la première partie du vol était “tranquille” (en référence à son habitude, j’imagine). Si j’ai bien suivi, il y avait peu de vent météo également (j’imagine que la brise n’était pas très forte puisqu’il a fait un aller retour sur la même ligne) ce qui est idéal pour avoir des thermiques pas trop hachés et bien organisés.
Alors, c’est quoi la recette pour voler en condition thermique mais pas trop, ou pour faire un magnifique plouf contemplatif en sécurité ? Recette à connaitre avant de décoller, bien entendu. C’est une vraie question (pour ceux qui savent) ; pour l’instant, je reste persuadé que c’est impossible à savoir en dehors de généralités, et qu’il n’y a globalement que des cas particuliers quand on considère le site ‘s’, au jour ‘j’, à l’instant ‘t’ où on se situe (je rejoins les avis précédemment exprimés en ce sens), mais je suis tout prêt à changer d’avis.
En passant depuis 30 ans en moyenne 10 fois plus d’heures à essayer de comprendre comme voler moins mal et mieux anticiper les vracs qu’à voler.
En allant voir du coté des deltistes, des vélivoles, de la FFP et même de la chute libre tout ce qui s’enseignait et s’écrivait d’applicable au parapente.
Élitisme cultivé… foutaise !
SOLIDARITÉ, c’est tout…
Sinon, pourquoi crois-tu que nous jouions les “bons samaritains ?”
Tu crois que les chevilles ouvrières des clubs de parapente (que tu ne sembles pas avoir suffisamment fréquenté) font ça par gloriole ? Par vocation peut-être ?
NON
Pour nos copains qui n’avait pas la patience de s’infuser tous les mag et bouquins en trois langues que je réunissais, pour mes camarades de club, pour les pilotes que j’ai encadrés en tant qu’accompagnateur, pour tous ceux que l’on peut conseiller pour éviter qu’ils ne se fassent peur ou ne se blessent par ignorance.
Pour celui aussi que l’on a accompagné dans l’hélico, pour lesquels on a rempli les formulaire d’accueil aux urgences d’un hôpital improbable, en essayant de réviser ses connaissances en anglais ou en espagnol, pour parler avec un pauvre jeune chirurgien qui avait déjà eu une journée bien rempli, en essuyant le sang pissant encore par le tour béant entourant le morceau d’os…
Pour les heures passés à visiter les potes en neurochirurgie (en 17 ans de présidence de club ou manday régionaux : 5 colonnes brisés, 3 polytraumatismes, 1 poumon perforé, des cotes… encore des cotes, des entorses à la pelle).
Plus jamais ça… on se le dit tellement de fois que l’on en vient à détester le parapente, à se dire qu’il vaudrait mieux aller se cacher pour aller voler, pour éviter de contaminer une âme innocente qui pourrait penser que c’est un truc normal et accessible à tous…
Des jours heureux aussi, quand 4 parachutes que j’avais repliés se sont ouverts et ont déposé leur pilote indemne sur terre ou à l’eau.
Les morgues aussi… 2 au club dont 1 visiteur en compé… Comme s’il fallait absolument équilibrer le tableau des jours de vol ordinaires où il ne se passe… Rien… ET C’EST… BON ! Tellement bon quand les pipious comme les “cadors” rentrent tous avec la banane.
Alors on se bat, pied à pied, à combler nos failles avec à chaque fois des schémas moins mauvais des mouvements invisibles de l’air, des postulats moins déconnants sur le comment ça vole, à relever sans cesse la conscience de ceux qui basculent dans le relâchement, la simplification, la facilité apparente, l’excès de confiance… avant de tomber dans la peur irraisonnée ou tomber tout court dans l’effondrement de connaissances mal fondées.
Et pleins d’autres pages où nous sommes ici pas plus d’une douzaine à essayer pendant des heures de pondre forces schémas et tentatives d’explications pour partager nos convictions et/ou pour en débattre pour que NOUS PROGRESSIONS TOUS ENSEMBLE !
Alors, quand on a ni le temps ni la patience de faire ce type de parcours, on baisse le ton et on réfléchit un peu avant d’émettre des jugements à l’emporte pièce.
Et merci, RaymonD, de ton récit de ton vrac qui date de 2 jours maintenant. Tu es probablement encore bien remué aujourd’hui. Je pense que beaucoup d’entre nous souhaite ne pas abandonner la magie du vol, mais ne souhaite pas non plus se faire peur. Les questions que tu poses, beaucoup se les pose. J’espère que les interventions suivantes sur ce fil seront dans cet esprit.
En tout cas, un ou deux vols peinards, en même temps qu’une école par exemple s’il y en a dans ton coin, peuvent être un bon remède au cas où tu aies un peu perdu goût.
Désolé, mais il était évident que les conditions seraient fortes durant ces 4 derniers jours. Pas de questions d’horaires ou de hauteur de plafond, simplement un gradient de température fort qui génère des thermiques puissants (durant la semaine j’ai régulièrement enroulé du +6 +7 régulier).
Si tu ne sais pas avant d’y être il me parait évident que ton analyse n’est pas suffisante. Il n’y avait aucun piège ou phénomène marginal, juste une journée de printemps puissante ‘normale’ annoncée par les bulletins météo et les prévisions de meteo-parapente. Le paradis pour certains, l’enfer pour d’autres.
Mon conseil perso : citadin volant peu, j’avais pris l’habitude à mes débuts de débriefer avec des copains plus expérimentés puis tout seul tous mes vols - Pour cela, je notais tous les détails et info sur de petits calepins que je trimbalais avec moi, à minima le soir même.
Tout ce que je ne comprenais pas devait trouver une explication et former dans ma tête un petit schéma mental façon cartoon.
Je ne biffais un événement particulier -comme un fermeture durant un vol, un atterrissage dur, une descendance ou une ascendance rencontrée là où je ne l’attendais pas- que quand j’avais un schéma qui me semble tenir la route.
Pour certains problèmes, cela à pris des semaines, pour d’autres …des années… j’y travaille encore trente ans plus tard pour quelques “os”.
Pour achever un thème de réflexion, rien de mieux que dans son fauteuil, devant une carte en relief ou Google Earth que de d’imaginer son vol, ses sensations, les options, etc. du déco à l’atterrissage.
Au bout de quelques temps, ces debriefings qui étaient embryonnaires peuvent devenir des véritables reconstitution mentales… jusqu’à imaginer la prolongation d’intinéraires de sorties de sites ou de cross!
C’est aussi un très bon exercice de concentration pendant les soirées en semaine (mieux que les fléchettes et la bière au pub irlandais, par exemple… quoique…).
Manque d’expérience, euphorie, fatigue, heure et condition aéro très printanières sont un mélange détonant.
La réponse à la question semble simple et évidente: fallait pas être là
Malheureusement n’est pas nouveau et la solution est toujours la même. Désolé, mais je suis certain que ce n’est pas la faute du matériel (cela s’est peut-être bien terminé à cause du matos ?), alors reste ce que l’on appel les “Facteurs non Technique”.
30° en bas à Grenoble, pratiquement 10° de moins 1000m plus haut à St Hill ou sur le plateau du Vercors… Ca laisse tout de même penser que ce gradient de température important, est typique des journées de printemps où ça pompe des briques, avec des plafonds qui n’en finissent pas.
Perso j’ai décollé à 18h00, j’ai pas fait grand chose car j’ai décollé dans un cycle un peu pourri et mou, mais des copains on fait 2400m au dessus des crêtes du Vercors à 19h00 et ont posé à quasi 20h00…
Rien qu’en foutant le nez dehors de la baraque (à 1100m d’altitude), vu la taille des cums, leur altitude, les contrastes de températures entre ombre et soleil, tu sais pertinemment que ça rigole pas en l’air…
Après savoir si la masse d’air est “saine” ou pas, c’est un autre débat et ça dépend vraiment de facteurs qui m’échappe un peu personnellement, surtout en l’absence de vent météo ou alors avec une tendance peu marquée comme samedi…
Y’a qu’à voir les surprises sur la simple pente école de l’Aigle, où il y avait samedi dans l’après midi, du Nord, puis du Sud… Alors surement pas du météo qui était faible ces jours-ci, mais plutôt des phénomènes de brise thermique un peu erratique.
Il y a eu surtout un dust sur le parking d’après des collègues qui l’ont vu pendant de longues secondes. Heureusement pas de dégâts. Pendant ce temps, il y a toujours des gars pour décoller de la butte de l’Aigle (qui fait 100m), en plein cisaillement, manche à air au déco dans un sens et celle de l’attéro à l’inverse… En l’air ça se passe… avec des voiles qui font n’imp’, des pilotes qui font n’imp aux commandes mais qui se posent sans casse. Le parapente pardonne un max… Surtout au début…
A mon sens on ne devrait même pas s’amuser à faire du gonflage et des waggas sur une pente école dans des horaires de pleine après midi. Ca sent le sketch à plein nez… Si le dust avait chopé une voile, c’était un blessé grave voir un mort. Y’a eu des précédents au même endroit !
Je pense vraiment qu’on oublie trop souvent les enseignements de nos moniteurs du début, qui nous apprenait sagement ce qu’il fallait faire et ne pas faire… Quand eux partent en bi et que toi tu restes au sol, c’est pour une bonne raison… Et c’est pas 100 ou 200 vols plus tard, qu’on est mieux armé pour affronter ces conditions…
Alors, je tourne trois fois mon doigt sur ma souris avant de cliquer sur le bouton “soumettre”, mais presque 10°C de différence de température pour une différence d’altitude de 1000m, ça fait 1°C tous les 100m ; c’est un gradient tout à fait normal, non ? (adiabatique sèche). Et encore plus si on considère que les 30°C ont été mesuré en ville. Du coup, je pige pas.
OK pour les gros cums, et la différence de température ressentie à l’ombre et au soleil.
Chtit’ restit ? Je dis ça car il y en a eu une mardi à Millau (et ça a volé là-bas très sainement toute la journée). (et pour les expatriés d’Arbas à qui ça parle, ça décollait face voile assez fort à 19H30 jeudi soir (ou vendredi ?), et ça montait encore jusqu’à Cornudère, et enroulait au dessus des tennis ; probablement un phénomène de vent d’est + échange Plaine Montagne d’après le moniteur en vol ; d’ailleurs, ce n’était pas très sain, et il n’a pas envoyé les élèves ; vu du déco, ça avait l’air d’être de l’huile en l’air dans la belle lumière du soir…).
Moi aussi un peu, et c’est pourtant ce point qui est intéressant justement.
Ouaip. Il me semble que Patrick Samoens avait fait ce rappel sur le forum, il y a quelques temps. Rappel tout à fait salutaire d’ailleurs, car, comme ça ne vole pas (trop fort), on est tenté d’aller faire du gonflage, et avec une pente, c’est plus sympa quand même.
Ben… honnêtement, les moniteurs ne vont pas aussi loin dans le détail lors des stages ; ils testent la masse d’air en volant dedans, et envoient les élèves ou pas, mais globalement, pour le niveau “exploitation thermique”, ils décollent pour voir. (enfin, c’est ce que j’ai toujours vu).
Par rapport à ce fil ??
Un sketch que personne n’explique clairement. Pourtant ce n’est pas arrivé parce que justement la masse d’air était calme…
Le fait qu’à part quelques uns personne n’a soulevé la force de l’aérologie durant ces journées
Mais ma réflexion ne se cantonnait pas qu’à ce fil. Mais globalement à ce qu’on peut lire dans divers postes.
Après je ne cherche pas à convaincre qui que ce soit… Ni à prêcher pour ma paroisse.
Perso je pense qu’avec une meilleure connaissance aérologique, de nombreux incidents voir accidents seraient évités.
non pas plafond très haut quoi que ça puisse être un signal orange (à défaut de rouge)
puissance des thermiques, vitesse des vents et/ou des brises, puissance des cisaillements
il y a plein de critères qui font qu’une aérologie puisse être trop violante
Il n’y a aucun élitisme … il y a juste de l’apprentissage : des heures de lectures, des heures de pratiques
comme le dit très justement Paul (en tout cas c’est ma façon à moi de faire) : des tonnes de schémas mentaux à se construire, puis les mettre à la poubelle, en refaire d’autres puis d’autres encore, enfin trouver un schéma mental qui marchouille à peu prés dans telle configuration, connaître ses limites, affiner le schéma quelques dizaines de fois puis le mettre à la poubelle jusqu’à en trouver un qui puisse s’affiner suffisamment pour être assez représentatif.
Comment remettre en question son modèle pour le faire évoluer vers du mieux ? au choix : tu voles, tu observes ceux qui volent (avant ou à la place de te mettre en l’air), tu lis (bouquins), tu échanges ( :forum: ) [en écoutant avec bienveillance les récits des uns, les explications des autres]
ça marche avec les divers domaines du parapente : aérologie, météorologie, mécanique de vol, aérodynamique …
Bref, Paul = 30 de lectures et de pratique
pour ma part je n’ai qu’une 20e (ou 25 ?) années de pratique à raison de 150 vols/an (au début) puis 250H de vol par an (quand j’ai su rester en l’air un peu plus longtemps)
Alors ne vous impatientez pas. 3 ans de pratique, 80h, 250 vols … ce n’est que le début faut juste faire en sorte que ça ne soit pas la fin
Oui dans l’absolu tu as raison, mais dans la pratique, c’est pas si fréquent. J’habite sur le plateau du Vercors et je monte/descends 5 fois par semaine en moyenne hors congés et j’observe généralement le gradient de température entre le haut et le bas.
Parfois, notamment l’hiver, j’ai que 2/3° d’écart entre Grenoble 212m et St Nizier 1150m… (sans parler des phénomènes d’inversion dus au froid piégé en vallée contre les pentes déjà au soleil en haut, phénomène bien connu à Cham par ex.)
Mais clairement, rare sont les fois où le gradient est très marqué avec quasi 10° d’écart… Sauf dans ces journées de printemps bien fumantes…
Non non, thermique pur et d’ailleurs qui déclenchait parfois fort en basse couche. La restit n’est pas si fréquente sur ce site du Belvédère, faut une bonne conjonction des facteurs thermiques, vent… A vrai dire elle est difficile à prévoir même pour les moniteurs du coin. C’est un peu “magic” :bu:
Honnêtement je sais pas si y’a beaucoup de gens qui arrivent à avoir une analyse très fine de la situation et de ce qu’ils vont rencontrer en l’air. Même à connaître par cœur un site et y voler depuis des années en ayant étudié les conditions selon le vent…
C’est un peu comme la vague en surf. Et encore, les vagues c’est vachement plus régulier !
C’est sans doute un chouia hors-sujet mais l’essentiel étant tout de même de s’interroger sur le fait de se retrouver en vol sans forcément posséder tous les atouts pour réussir un vol sans soucis, je ne peux pas m’empêcher de réagir à ceci :
Mouaih… Qu’il y au une bonne raison que toi/moi tu reste au sol, oui ! Que eux partent en bi… c’est moins sur, suffit de voir le nombre déjà impressionnant de déclarations d’accident biplace depuis le début d’année. Pas sur que cela arrange le taf de nos représentants FFVL qui vont avoir dans les jours à venir renégocier les tarifs de nos assurances RCA et autres pour les deux ans à venir (2019 & 2020)
Le document permet de faire du tri pour afficher les déclarations biplaces en tété de liste. Après les autres déclarations ne sont pas dénuées non plus d’intérêt et de matière à réflexion.
@ Zemike,
C’est peut-être un peu con… mais justement le “ça dépend” est un terme clef en vol-libre. Et cela n’a rien à avoir avec de l’incertitude au final. Cela signifie juste que les contextes ne sont que très rarement simple/“binaire” et qu’il faut adopter la solution qui s’applique au probléme global qui se pose. Probléme global qui est un amalgame de pleins de petits ou moins petits éléments et c’est bien suivant ce mélange jamais le même qu’il faut apporter une solution efficace. Bref… ça dépend.
De même, eh oui et tans pis si cela dérange tant que l’on ne sait pas… Il faut savoir faire ! Mais sans doute plus important encore, il faut savoir ce que justement on ne sait pas faire. Si par exemple, on n’est pas certain de savoir faire une lecture pertinente de l’aérologie, alors il faut laisser le bénéfice au doute et ne pas s’aventure dans des vols ou des endroits ou on peut se douter que l’aérologie ne sera pas simple.
Désolé si cela te “bouge” un peu dans tes certitudes et que cela n’est pas ce que tu pense/plait.