Tout à fait d’accord avec cette remarque. Et pour rebondir sur le message précédent : comment on sait que c’est “surfumant” (qu’est-ce que ça veut dire d’ailleurs) et comment on le sait avant d’y être ?
Et ne répondez pas : “plafond très haut”, parce que c’est faux (j’ai connu un plaf à plus de 4000 à val louron, avec une aérologie d’une tranquillité absolue). J’ai même entendu l’inverse : que les plaf bas pouvait provoquer des turbulences fortes.
Et ne répondez pas non plus : vol du soir (c’est quand le soir, au fait ?) : j’ai déjà vu des conditions proches du sol, avec des inversions de brises (ou des rentrées de vent) qui provoquaient une aérologie bien pourries, et j’ai eu très peur pour les 2 débutants qui ont décollé après avoir attendus bien sagement qu’il ne reste plus que quelques bouffes de face pour décoller.
Pour ne pas partir dans des généralités, restons sur ce récit : il mentionne bien que la première partie du vol était “tranquille” (en référence à son habitude, j’imagine). Si j’ai bien suivi, il y avait peu de vent météo également (j’imagine que la brise n’était pas très forte puisqu’il a fait un aller retour sur la même ligne) ce qui est idéal pour avoir des thermiques pas trop hachés et bien organisés.
Alors, c’est quoi la recette pour voler en condition thermique mais pas trop, ou pour faire un magnifique plouf contemplatif en sécurité ? Recette à connaitre avant de décoller, bien entendu. C’est une vraie question (pour ceux qui savent) ; pour l’instant, je reste persuadé que c’est impossible à savoir en dehors de généralités, et qu’il n’y a globalement que des cas particuliers quand on considère le site ‘s’, au jour ‘j’, à l’instant ‘t’ où on se situe (je rejoins les avis précédemment exprimés en ce sens), mais je suis tout prêt à changer d’avis.
Derob

faut juste faire en sorte que ça ne soit pas la fin 

