Alors, je tourne trois fois mon doigt sur ma souris avant de cliquer sur le bouton “soumettre”, mais presque 10°C de différence de température pour une différence d’altitude de 1000m, ça fait 1°C tous les 100m ; c’est un gradient tout à fait normal, non ? (adiabatique sèche). Et encore plus si on considère que les 30°C ont été mesuré en ville. Du coup, je pige pas.
OK pour les gros cums, et la différence de température ressentie à l’ombre et au soleil.
Chtit’ restit ? Je dis ça car il y en a eu une mardi à Millau (et ça a volé là-bas très sainement toute la journée).
(et pour les expatriés d’Arbas à qui ça parle, ça décollait face voile assez fort à 19H30 jeudi soir (ou vendredi ?), et ça montait encore jusqu’à Cornudère, et enroulait au dessus des tennis ; probablement un phénomène de vent d’est + échange Plaine Montagne d’après le moniteur en vol ; d’ailleurs, ce n’était pas très sain, et il n’a pas envoyé les élèves ; vu du déco, ça avait l’air d’être de l’huile en l’air dans la belle lumière du soir…).
Moi aussi un peu, et c’est pourtant ce point qui est intéressant justement.
Ouaip. Il me semble que Patrick Samoens avait fait ce rappel sur le forum, il y a quelques temps. Rappel tout à fait salutaire d’ailleurs, car, comme ça ne vole pas (trop fort), on est tenté d’aller faire du gonflage, et avec une pente, c’est plus sympa quand même.
Ben… honnêtement, les moniteurs ne vont pas aussi loin dans le détail lors des stages ; ils testent la masse d’air en volant dedans, et envoient les élèves ou pas, mais globalement, pour le niveau “exploitation thermique”, ils décollent pour voir. (enfin, c’est ce que j’ai toujours vu).
Derob
faut juste faire en sorte que ça ne soit pas la fin 



) avec des conditions qui restaient par endroit assez toniques malgré l’heure tardive… et puis quelle lumière !