non pas plafond très haut quoi que ça puisse être un signal orange (à défaut de rouge)
puissance des thermiques, vitesse des vents et/ou des brises, puissance des cisaillements
il y a plein de critères qui font qu’une aérologie puisse être trop violante
Il n’y a aucun élitisme … il y a juste de l’apprentissage : des heures de lectures, des heures de pratiques
comme le dit très justement Paul (en tout cas c’est ma façon à moi de faire) : des tonnes de schémas mentaux à se construire, puis les mettre à la poubelle, en refaire d’autres puis d’autres encore, enfin trouver un schéma mental qui marchouille à peu prés dans telle configuration, connaître ses limites, affiner le schéma quelques dizaines de fois puis le mettre à la poubelle jusqu’à en trouver un qui puisse s’affiner suffisamment pour être assez représentatif.
Comment remettre en question son modèle pour le faire évoluer vers du mieux ? au choix : tu voles, tu observes ceux qui volent (avant ou à la place de te mettre en l’air), tu lis (bouquins), tu échanges ( :forum: ) [en écoutant avec bienveillance les récits des uns, les explications des autres]
ça marche avec les divers domaines du parapente : aérologie, météorologie, mécanique de vol, aérodynamique …
Bref, Paul = 30 de lectures et de pratique
pour ma part je n’ai qu’une 20e (ou 25 ?) années de pratique à raison de 150 vols/an (au début) puis 250H de vol par an (quand j’ai su rester en l’air un peu plus longtemps)
Alors ne vous impatientez pas. 3 ans de pratique, 80h, 250 vols … ce n’est que le début
faut juste faire en sorte que ça ne soit pas la fin 



) avec des conditions qui restaient par endroit assez toniques malgré l’heure tardive… et puis quelle lumière !